Des élus Rassemblement national ont tenté de faire censurer un jeu antifasciste
Résumé
Citations
« Le choix de la Fnac de retirer le produit de la vente sous la pression de l'extrême droite a suscité l’indignation chez les internautes de gauche. D'abord parce que les « cases » évoquées par le député Grégoire de Fournas [« Case 1 : « je bloque une fac", Case 2 : "je tabasse un militant de droite", Case 3 : "j’attaque un meeting du RN", Case 4 : "je lance un cocktail Molotov sur les CRS »] n'existent pas. « C'est totalement faux », explique Charlotte Dugrand, co-fondatrice de Libertalia. « C'est un jeu de cartes, pas un jeu de plateau », assure-t-elle, parlant d'un jeu sans violence. « Dans nos productions, on défend la fraternité, la sororité. Rien n'entre sous le coup de la loi. Ce qui n'est pas le cas des publications d'extrême droite » pour certaines encore vendues à la Fnac, fustige-t-elle. »