La marche sur Rome n'a eu que des effets très indirects sur la prise de pouvoir de Mussolini, qui elle, était totalement légale
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Cet argument est utilisé dans les débats Le Rassemblement national est-il un parti fasciste ?, La liberté d'expression doit-elle être limitée ?, Le communisme a-t-il encore un avenir ?, La démocratie est-elle le meilleur des régimes ?, Faut-il accepter l'immigration en France ?, Etre de gauche, est-ce nécessairement être favorable à l'immigration de masse ?, La France est-elle un pays raciste ?, Le marxisme est-il intolérant et totalitaire par nature ?, La violence est-elle nécessaire aux progrès socio-politiques ?, L'interdiction des discours haineux est-elle efficace ?, Faut-il débattre avec l'ennemi ?, Le néolibéralisme doit-il s'effondrer ?, Éric Zemmour est-il fasciste ?, Pour ou contre le wokisme ?, Le féminisme est-il encore nécessaire ?, Le capitalisme doit-il être renversé ?, Le capitalisme doit-il être réformé ?, Le capitalisme peut-il être réformé ?, Faut-il accepter l'immigration ? et Le Rassemblement national est-il un parti d'extrême-droite ?.
Cet argument est une objection à A la différence d'Hitler Mussolini n'a pas été élu démocratiquement et Le Rassemblement national est un parti intégré dans le jeu électoral.
Mots-clés : aucun
Résumé
Citations
« Finalement, la marche sur Rome n’est donc pas un succès en tant que tel : quelques milliers de fascistes, mal préparées, qui sont rapidement stoppés par les forces gouvernementales. Cependant, elle sert de moyen de pression pour obtenir le pouvoir légalement. La constitution, qui prévoit que le roi est le seul maître de la composition du gouvernement, est respectée. On ne peut donc pas parler de coup d’État (pronunciamento) »
Serge Berstein, Pierre Milza, L'Italie contemporaine : du Risorgimento à la chute du fascisme, Armand Colin, 1995.