Le marxisme est-il un totalitarisme ?

POUR

Tous les régimes se réclamant du marxisme ont été totalitaires et ont pratiqué la terreur

Marx légitime la violence contre ses opposants et contradicteurs

Marx prône la révolution violente

Marx réclame la dictature

Marx récuse les Droits de l'homme "bourgeois"

En voulant abolir la propriété privée, les marxistes mettent le doigt dans un engrenage totalitaire

La gauche doit se libérer de l'emprise marxiste qui la conduit au totalitarisme et aux échecs historiques

Certains marxistes contemporains continuent à prôner la violence révolutionnaire

Marx a créé le concept hautement discriminatoire de lumpenprolétariat

Il n'y a aucune raison de penser que de nouvelles expériences marxistes pourraient ne pas être totalitaires

CONTRE

Les partis communistes ont abandonné la notion de "dictature du prolétariat"

Des réformateurs comme Jaurès ont supprimé les aspects totalitaires du marxisme

Marx réclame non pas moins de droits que les démocraties libérales, mais plus de droits

Les marxistes d'aujourd'hui réclament plus de démocratie et de pouvoir pour les citoyens

Marx n'a jamais prôné ni le totalitarisme ni l'état fort

Le marxisme originel nourrissait des idéaux de justice sociale

Des expériences marxistes ont pu fonctionner sans tomber dans des dérives dictatoriales

Le totalitarisme est contraire aux voeux fomulés par Marx

Les mouvements marxistes et communistes se sont démocratisés et ne sont pas intolérants, notamment en Europe

Sans le marxisme, la gauche contemporaine n'aurait jamais existé

Mots-clés : marxisme, Marx, victimes du communisme, Totalitarisme, Dictature, Dictature du prolétariat, Intolérance, Idéologie

Pour comprendre le débatmodifier

Le marxisme ne doit pas être une vache sacrée pour la gauche

Nombre d'intellectuels de gauche, même si souvent ils récusent le communisme réel, se réclament du marxisme. Comme si le marxisme conservait une sorte de pureté et de valeur malgré toutes les applications sanglantes et criminelles auxquelles il a donné lieu ! Le marxisme reste une vache sacrée pour la gauche ; on critique Staline voire Lénine, mais on attribue pas leurs crimes à leur origine naturelle : les théories violentes, intolérantes et totalitaires de Marx lui-même, dans le texte.

Arguments « pour »modifier

Quels sont les arguments pour le caractère totalitaire du marxisme ?

Tous les régimes se réclamant du marxisme ont été totalitaires et ont pratiqué la terreurmodifier
Marx légitime la violence contre ses opposants et contradicteursmodifier
Marx prône la révolution violentemodifier
Marx réclame la dictaturemodifier
Marx récuse les Droits de l'homme "bourgeois"modifier
En voulant abolir la propriété privée, les marxistes mettent le doigt dans un engrenage totalitairemodifier
La gauche doit se libérer de l'emprise marxiste qui la conduit au totalitarisme et aux échecs historiquesmodifier
Certains marxistes contemporains continuent à prôner la violence révolutionnairemodifier
Marx a créé le concept hautement discriminatoire de lumpenprolétariatmodifier
Il n'y a aucune raison de penser que de nouvelles expériences marxistes pourraient ne pas être totalitairesmodifier

Arguments « contre »modifier

Quels sont les arguments contre le caractère totalitaire du marxisme ?

Les partis communistes ont abandonné la notion de "dictature du prolétariat"modifier
Des réformateurs comme Jaurès ont supprimé les aspects totalitaires du marxismemodifier
Marx réclame non pas moins de droits que les démocraties libérales, mais plus de droitsmodifier
Les marxistes d'aujourd'hui réclament plus de démocratie et de pouvoir pour les citoyensmodifier
Marx n'a jamais prôné ni le totalitarisme ni l'état fortmodifier
Le marxisme originel nourrissait des idéaux de justice socialemodifier
Des expériences marxistes ont pu fonctionner sans tomber dans des dérives dictatorialesmodifier
Le totalitarisme est contraire aux voeux fomulés par Marxmodifier
Les mouvements marxistes et communistes se sont démocratisés et ne sont pas intolérants, notamment en Europemodifier
Sans le marxisme, la gauche contemporaine n'aurait jamais existémodifier