Dans les années 30, le rejet de la démocratie était largement partagé par l'opinion publique
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Cet argument est utilisé dans les débats Le Rassemblement national est-il un parti fasciste ?, La liberté d'expression doit-elle être limitée ?, Le communisme a-t-il encore un avenir ?, La démocratie est-elle le meilleur des régimes ?, La France est-elle un pays raciste ?, Le marxisme est-il intolérant et totalitaire par nature ?, La violence est-elle nécessaire aux progrès socio-politiques ?, Le néolibéralisme doit-il s'effondrer ?, Éric Zemmour est-il fasciste ?, Pour ou contre le wokisme ?, Le Rassemblement National est-il un parti d'extrême-droite ?, Le capitalisme doit-il être renversé ?, Le capitalisme doit-il être réformé ? et Le capitalisme peut-il être réformé ?.
Cet argument est une objection à Hitler critiquait ouvertement la démocratie et Hitler et Mussolini annonçaient clairement qu'ils voulaient abolir la démocratie.
Mots-clés : aucun
Résumé
Quand les institutions démocratiques échouent, il est facile de faire passer la démocratie pour responsable des désastres qui en découlent, de même qu'en temps de crise, il est perçu comme parfaitement légitime de tout sacrifier pour le bien de la nation. Tel était l'état de l'opinion publique en Allemagne durant les années 30. Ainsi, le rejet assumé de la démocratie par les nazis, loin d'être une preuve qu'ils n'auraient pas pu gagner grâce au soutien populaire, avait au contraire pour but de dire à l'opinion publique ce qu'elle voulait entendre.