Les journalistes font l'objet d'attaques par des groupes extrémistes
Résumé[ modifier ]
Citations[ modifier ]
« Ce lundi 17 juin, un journaliste de L’Indépendant a été pris à partie alors qu’il se rendait à une conférence de presse des trois candidats du Rassemblement national aux élections législatives des 30 juin et 7 juillet. Un comportement inacceptable qui ne grandit pas les trois députés sortants de l’Aude. »
« Le journal satirique Siné Mensuel a indiqué ce vendredi avoir reçu des menaces de morts visant certains de ses collaborateurs. Le journal a déposé plainte après avoir reçu mardi cinq lettres signées de l’ancien Groupe union défense, plus connu sous son acronyme du GUD, un syndicat étudiant d’extrême droite. « Après Charlie, Siné », indiquait entre autres une de ces lettres postées en Indre-et-Loire, et adressées au siège parisien des éditions du journal. « Qu’ils nous insultent, on a l’habitude. Qu’on nous menace de mort, c’est plus compliqué. Mais quand ils cautionnent l’attentat contre Charlie Hebdo, on passe à un cran supérieur », a indiqué à l’AFP Catherine Weil Sinet, la directrice du journal. Le journal, auparavant appelé Siné-Hebdo, avait déjà reçu des menaces et avait été cambriolé en 2008. »
Références[ modifier ]
- Quand l'extrême droite s'attaque aux médias locaux, Blast, 23.03.2023.
- Menaces de morts contre des journalistes : 44 plaintes déposées contre le site d’extrême droite Réseau libre, Lucas Zaï-Gillot, Libération, 12 juillet 2024.