Des soutiens revendiqués du Rassemblement national font preuve d'une violence de plus en plus décomplexée
Résumé
Citations
« Après que Réseau libre a appelé à «éliminer» des avocats signataires d’une tribune contre le Rassemblement national (RN) pendant l’entre-deux tours, le parquet de Paris a déjà ouvert une enquête le 11 juillet. Un signalement transmis au ministère public par le conseil de l’Ordre du barreau de Paris a permis le lancement des investigations pour «menaces de mort envers avocats et cyberharcèlement». Celles-ci ont été confiées l’Office anti-cybercriminalité (Ofac) de la police judiciaire de Versailles. »
« En garde à vue, [quatre agresseurs homophobes] ont affirmé des leur lien avec le GUD, groupuscule d’extrême droite, ainsi qu’avec le Rassemblement National. Selon Libération, durant leur garde à vue, l’un d’eux avait déclaré devant les enquêteurs : « Vivement dans trois semaines, on pourra casser du p*d* autant qu’on veut », faisant référence à une possible victoire de l’extrême droite aux élections législatives qui auront lieu dans près de deux semaines. »
Références
- Dans le Cher, une suppléante RN porte un t-shirt de suprémaciste blanc et s’affiche avec des skinheads néonazis, Daphné Deschamps, Streetpress, 02/07/2024.
- Dans le Rhône, des groupuscules identitaires violents font la campagne de leur copine candidate RN, Daphné Deschamps, Streetpress, 03/07/2024.