Les gens sont conditionnés à accepter le système
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Cet argument est utilisé dans les débats Le néolibéralisme doit-il s'effondrer ?, Le communisme a-t-il encore un avenir ? et Le capitalisme doit-il être renversé ?.
Cet argument est une objection à La majorité des gens élit des partis capitalistes, La plupart des gens adhèrent au système, Le capitalisme a un fondement naturel, Les classes populaires votent en grande partie pour des partis capitalistes et Les gens veulent le capitalisme et pas un autre système.
Mots-clés : aucun
Résumé
Le capitalisme, tout particulièrement néolibéral, maintient les citoyens dans un état d'hébétude en lui fournissant une propagande permanente via la publicité, les médias de masse, le panem et circenses sous forme de divertissement bas de gamme, ainsi qu'avec du travail salarié aliénant, innhibant toute critique du système par les gens qui en sont pourtant les principales victimes. Il est donc faux de prétendre que les citoyens pro-capitalisme sont en pleine possession de leur libre-arbitre.
Citations
Références
- Jean-Claude Michéa, L'Enseignement de l'ignorance et ses conditions modernes, Climats, 1999.
- Hans-Peter Martin, Harald Schumann, Le piège de la mondialisation, Solin Actes Sud, 1997.
- Edward Herman, Noam Chomsky, La Fabrication du consentement : De la propagande médiatique en démocratie, Agone, 1988.