La lutte contre le "wokisme" fait partie du plan de dédiabolisation de l'extrême-droite
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Cet argument est utilisé dans les débats L'extrême-gauche doit-elle lutter contre l'islamophobie ?, Le Rassemblement national est-il un parti fasciste ?, La liberté d'expression doit-elle être limitée ?, Le communisme a-t-il encore un avenir ?, La démocratie est-elle le meilleur des régimes ?, Etre de gauche, est-ce nécessairement être favorable à l'immigration de masse ?, La France est-elle un pays raciste ?, La violence est-elle nécessaire aux progrès socio-politiques ?, L'interdiction des discours haineux est-elle efficace ?, Faut-il débattre avec l'ennemi ?, Le néolibéralisme doit-il s'effondrer ?, Éric Zemmour est-il fasciste ?, Pour ou contre le wokisme ?, Pour ou contre l'écologie ?, Le féminisme est-il encore nécessaire ?, Le capitalisme doit-il être renversé ?, Le capitalisme doit-il être réformé ?, Le capitalisme peut-il être réformé ?, Le contrôle de constitutionnalité est-il anti-démocratique ?, Faut-il accepter l'immigration ?, Le Rassemblement national est-il un parti d'extrême-droite ?, L'État de droit doit-il primer sur la démocratie ? et Le marxisme est-il un totalitarisme ?.
Cet argument est une justification de Le "wokisme" n'existe que dans les discours anti-progressistes, c'est un homme de paille créer artificiellement pour faire semblant d'avoir un adversaire oppresseur.Mots-clés : aucun
Résumé[ modifier ]
L'extrême-droite se présente comme défenseuse des femmes et des gays, mais ne les défend en réalité que quand ça lui permet d'attribuer le monopole de leur persécution à un bouc émissaire, qui sera un groupe humain dont l'exclusion sociale est totalement acceptée par l'opinion publique, tels que les migrants, les musulmans ou les personnes transgenre, de même qu'elle ne présente le racisme que comme un ensemble d'agressions isolées. Tout progressisme allant au-delà de ce vernis opportuniste sera alors qualifié d'extrémiste. Ainsi, l'extrême droite fait d'une pierre deux coups, puisqu'elle peut ainsi avoir l'air "gentille" sans pour autant se départir de son idéologie réactionnaire.
