Tout comme Poutine aujourd'hui en Ukraine, les dirigeants français ont refusé d'employer le mot "guerre" en Algérie
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Cet argument est utilisé dans les débats L'Europe occidentale est-elle en déclin ?, Le communisme a-t-il encore un avenir ?, Le marxisme est-il intolérant et totalitaire par nature ?, Les pays de l'OTAN doivent-ils sanctionner la Russie pour son invasion de l'Ukraine ?, Faut-il débattre avec l'ennemi ?, Le capitalisme doit-il être renversé ?, Le capitalisme peut-il être réformé ? et Le marxisme doit-il être abandonné ?.
Cet argument est une justification de Les pays de l'OTAN interviennent aux quatre coins du monde dans des guerres qui ne disent pas leur nom.
Résumé
Citations
« Tout comme Poutine en Russie aujourd’hui, les dirigeants français de gauche ou de droite qui s’étaient succédé bannissaient l’usage du mot « guerre ». Un million et demi de jeunes appelés avaient été envoyés en Algérie pour mener des « opérations de pacification ». Derrière ces mensonges, la réalité de la guerre était féroce. Les bombardements, la torture et les viols ne réussirent pas à faire plier le peuple algérien. »
Lutte ouvrière, « 19 mars 1962 : les accords d’Évian et l’indépendance de l’Algérie », Lutte ouvrière, n°2799, 23/03/2022.
« Tout comme Poutine interdit aujourd’hui l’emploi du mot « guerre » en Russie, l’État français utilisait jusqu’en 1999 les termes « opérations de maintien de l’ordre » pour désigner les huit années de guerre coloniale contre les Algériens luttant pour leur indépendance, qui firent des centaines de milliers de morts. »
Lutte ouvrière, « Contre Poutine et contre les fauteurs de guerre impérialistes », Lutte ouvrière, n°2797, 09/03/2022.