Les personnes qui sont au pouvoir politique en France ne sont pas toutes élues par le peuple
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Cet argument est utilisé dans les débats La France est-elle une démocratie ?, La liberté d'expression doit-elle être limitée ?, Le communisme a-t-il encore un avenir ?, Le marxisme est-il intolérant et totalitaire par nature ?, La violence est-elle nécessaire aux progrès socio-politiques ?, Le néolibéralisme doit-il s'effondrer ?, Pour ou contre le wokisme ?, Le capitalisme doit-il être réformé ? et Le capitalisme peut-il être réformé ?.
Cet argument est une justification de La majorité des dirigeants de l'État ne sont pas élus.
Mots-clés : Démocratie, Contrôle
Résumé
- Premier ministre, préfets (des juges, des magistrats), certains membres du Conseil de l'Europe et/ou européen
- idem pour Conseil d'État, Conseil constitutionnel ? du Conseil européen, Conseil de l'Europe et députés européens ?
Citations
« On l’aura compris, les préfets détiennent la vie de nombreuses personnes entre leurs mains. Si le fonctionnement de l’administration française semble effectivement indispensable, on pourrait tout de même souhaiter plus de démocratie en son sein. Comment accepter que le gouvernement et ses administrateurs disposent de droits de décret avec une possibilité de s’appliquer immédiatement sans concertation avec personne ? La pilule passe d’autant moins quand les « ordres » viennent d’individus qui n’ont été élus par personne. Un relent de monarchie qui pourrait ne plus être toléré encore longtemps, d’autant plus dans notre système déjà bien peu consultatif. »
Simon Verdière, « Les préfets, décryptage d’un héritage antidémocratique », Mr Mondialisation, 29 avril 2023.