Le Rassemblement national a des politiciens fascistes parmi ses alliés
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Cet argument est utilisé dans les débats Le Rassemblement national est-il un parti fasciste ?, Le Rassemblement national est-il un parti d'extrême-droite ? et La France est-elle un pays raciste ?.
Cet argument est un argument « pour » dans le débat Le Rassemblement national est-il un parti d'extrême-droite ?.
Cet argument est une justification de Le Rassemblement national est un parti raciste, xénophobe, antisémite et homophobe.
Cet argument est une objection à Le Rassemblement national (et Reconquête) reconnaissent la démocratie et veulent la renforcer, Le Rassemblement national ne propose pas de restreindre la liberté d'expression ni de rogner des libertés publiques, Le Rassemblement national s'est dédiabolisé avec Marine Le Pen, Le Rassemblement national se réclame de la démocratie, Le Rassemblement national veut un régime plus démocratique, avec des référendums et la proportionnelle, Le projet du Rassemblement national ne correspond pas à la définition d'un Etat policier et Le terme "extrême droite" pour qualifier Zemmour ou Marine le Pen est ridicule quand on songe aux véritables extrême-droites (les nazis, les fascistes).
Mots-clés : aucun
Résumé
Le RN ne peut prétendre s'être dédiabolisé tout en soutenant des politiciens étrangers qui, eux, ne se sont même pas donnés cette peine.
Citations
« Privé par les Français d’un poste de Premier ministre, Jordan Bardella aura droit à un lot de consolation. Le député européen vient d’être élu Président d’un nouveau groupe d’extrême droite au Parlement européen, Patriotes pour l’Europe. On apprend ce matin dans la presse que ce groupe aura pour vice-président Roberto Vanacci, un général italien nostalgique de Mussolini. »
Auteur non renseigné, « Jordan Bardella va présider un groupe… aux côtés d’un général fasciste », L'insoumission, 10 juillet 2024.