La paysannerie est trop attachée à la propriété privée
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Aucun sous-argument n'a été entré. | La paysannerie est trop attachée à la propriété privée La paysannerie est trop éclatée pour avoir conscience d'elle-même La paysannerie est conservatrice Les paysans évoluent trop lentement |
Présentation de l'argument
Citations [ modifier ]
« Un certain nombre de courants espéraient que la révolution viendrait non des ouvriers mais des paysans, sans comprendre que [...] les paysans pauvres, à moins d’être dirigés par le prolétariat révolutionnaire, ne pourraient jamais avoir d’autres objectifs que la possession de leur propre lopin de terre ; autrement dit, qu’ils ne pourraient appliquer qu’un programme bourgeois, qui ne s’attaque pas à la propriété mais qui la renforce. »
Lutte ouvrière, « Le prolétariat international, la seule classe capable de mettre fin au capitalisme et à l’exploitation ! », 04/03/2011.
« Tant que l’artisan sent en artisan, le paysan en paysan, le petit commerçant en petit commerçant, tant que leur conscience de classe est forte, ils doivent s’attacher à la propriété privée des moyens de production et rester réfractaires au socialisme, dussent ils d’ailleurs payer cher cette attitude. [...] La propriété privée est le pouvoir qui lie toutes les classes possédantes au mode de production actuel, même celles qui appartiennent au nombre des exploitées, même celles dont la « propriété n’est plus qu’une ridicule caricature ». »
Karl Kautsky, Le programme socialiste, 1892.
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Débat parent
- La classe ouvrière est-elle la seule classe révolutionnaire ?