De Wikidébats, l'encyclopédie des débats et des arguments « pour » et « contre »
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Cet argument est utilisé dans les débats
Le Rassemblement national est-il un parti fasciste ?,
La liberté d'expression doit-elle être limitée ?,
Le communisme a-t-il encore un avenir ?,
La démocratie est-elle le meilleur des régimes ?,
Etre de gauche, est-ce nécessairement être favorable à l'immigration de masse ?,
La France est-elle un pays raciste ?,
Le marxisme est-il intolérant et totalitaire par nature ?,
La violence est-elle nécessaire aux progrès socio-politiques ?,
L'interdiction des discours haineux est-elle efficace ?,
Faut-il débattre avec l'ennemi ?,
Le néolibéralisme doit-il s'effondrer ?,
Éric Zemmour est-il fasciste ?,
Pour ou contre le wokisme ?,
Le féminisme est-il encore nécessaire ?,
Le capitalisme doit-il être renversé ?,
Le capitalisme doit-il être réformé ?,
Le capitalisme peut-il être réformé ?,
Faut-il accepter l'immigration ?,
Le Rassemblement national est-il un parti d'extrême-droite ? et
L'Europe occidentale est-elle en déclin ?.
Résumé
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Citations
« Entre 1986 et 1988, Charles Pasqua ministre de Jacques Chirac s'était illustré avec ses « charters » pour expulser des immigrés sans papiers. La gauche au pouvoir poursuivit cette politique. Malgré quelques gestes, comme la régularisation de 110 000 sans papiers entre 1981 et 1983, puis de 90 000 sous le gouvernement Jospin à partir de 1997, le parti socialiste n'a abrogé aucune loi répressive. En juillet 1984, sous Mitterrand, une loi confirmait l'arrêt de l'immigration économique et insistait, déjà, sur la nécessaire « intégration » des immigrés et de leurs familles. Une obsession d'autant plus choquante qu'au même moment, la jeunesse des banlieues, immigrée ou pas, était plongée dans le chômage. »
« Hollande au pouvoir n'a changé aucune loi et il a mis en œuvre celles votées par la droite. Il a exclu avant même son élection toute régularisation collective, même minimale. […] Quant à la promesse, faite régulièrement depuis 30 ans par le parti socialiste dans l'opposition, de donner le droit de vote aux étrangers installés sur le territoire, Hollande s'est empressé de l'oublier à son tour. […] Quant à son ministre de l'Intérieur, Manuel Valls, il ne rate pas une occasion de se montrer aussi « ferme » avec les immigrants que ses concurrents de droite. Il alimente les préjugés xénophobes contre les Roms de Roumanie ou de Bulgarie, accusés « de ne pas vouloir s'intégrer en France » et qui auraient « vocation à retourner dans leur pays ». Comme si un être humain avait « vocation » à rester toute sa vie dans le même pays, surtout quand il y subit brimades et discriminations de toutes sortes ! »
Références
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Justifications
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C'est le socialiste Michel Rocard qui a affirmé le premier que la France ne peut pas accueillir toute la misère du monde
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François Hollande au pouvoir n'a abrogé aucune des lois anti-immigrés adoptées sous le quinquennat de Nicolas Sarkozy
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François Hollande a renoncé à sa promesse électorale du droit de vote des étrangers aux municipales
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Manuel Valls a alimenté la xénophobie
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C'est quand la socialiste Edith Cresson était Première ministre que les demandeurs d'asile ont perdu le droit de travailler
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Le gouvernement du Front populaire n'a abrogé aucune des lois anti-immigration adoptées par le gouvernement précédent
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Le Front populaire a soutenu le renforcement du contrôle et de la répression contre les étrangers
Objections
Débats parents