La démocratie, ce n'est qu'une application pratique du biais de popularité
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Cet argument est utilisé dans les débats La liberté d'expression doit-elle être limitée ?, Le communisme a-t-il encore un avenir ?, La démocratie est-elle le meilleur des régimes ?, Le marxisme est-il intolérant et totalitaire par nature ?, La violence est-elle nécessaire aux progrès socio-politiques ?, Le néolibéralisme doit-il s'effondrer ?, Pour ou contre le wokisme ?, Pour ou contre l'écologie ?, Le capitalisme doit-il être renversé ?, Le capitalisme doit-il être réformé ? et Le capitalisme peut-il être réformé ?.
Cet argument est une justification de Une démocratie peut impliquer d'accepter les pires horreurs pourvu qu'elles soient voulues par la majorité.
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Résumé
Citations
« Une chose devient acceptable parce qu’elle est supposée vraie/crue par un certain nombre de gens. Plus formellement, le fait qu’une masse de gens nourrissent un sentiment favorable à l’égard d’une proposition ou d’une action se substitue à la preuve étayant cette proposition. »
Richard Monvoisin, « Effet Panurge, argumentum ad populum, ou principe de la preuve sociale », Cortecs, 6 décembre 2016.
« L'autorité d'une populace corrompue et tumultueuse doit plutôt être considérée comme une ochlocratie qu'une démocratie, comme le despotisme de la cohue, et non le gouvernement du peuple »
James Mackintosh, Vindiciae Gallicae, 1791.
