Certaines victoires soi-disant exclusivement non-violentes relèvent de la mystification historique
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Cet argument est utilisé dans les débats La liberté d'expression doit-elle être limitée ?, Lénine est-il le précurseur de Staline ?, Le communisme a-t-il encore un avenir ?, La démocratie est-elle le meilleur des régimes ?, Le marxisme est-il intolérant et totalitaire par nature ?, La violence est-elle nécessaire aux progrès socio-politiques ?, Le néolibéralisme doit-il s'effondrer ?, Pour ou contre le wokisme ? et Le capitalisme peut-il être réformé ?.
Cet argument est une justification de Il n'y a aucun exemple historique de droits acquis sans que personne n'ait usé de violence.
Mots-clés : aucun
Résumé
Citations
« En démystifiant les figures historiques inexorablement citées par la majorité de ceux qui défendent la non-violence comme un absolu — Gandhi, Martin Luther King, Nelson Mandela —, en exposant les réalités complexes derrière leurs accomplissements (souvent réduites à des simplismes mensongers), et en exposant les nombreux problèmes d’éthique qui découlent de l’absolutisation de la non-violence, Gelderloos nous offre ici un ouvrage essentiel qui devrait nous aider à sortir de l’impasse manifeste dans laquelle s’enlisent les mouvements militants. »
Auteur non renseigné, « Comment la non-violence protège l’État : Essai sur l’inefficacité des mouvements sociaux (Peter Gelderloos) », Éditions libres.