A l'automne 1978 le nombre de Boat People viet-namiens vers l'occident reste très inférieur à celui croissant des réfugiés khmers au Viet-nam
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Cet argument est utilisé dans les débats Le communisme a-t-il encore un avenir ?, Le marxisme est-il intolérant et totalitaire par nature ? et Faut-il débattre avec l'ennemi ?.
Cet argument est une justification de Les Boat-People fuyaient la fin d'un paradis artificiel créé par la manne américaine.
Mots-clés : Politique
Résumé
Citations
« Un dernier exemple : les 3 ou 400. 000 Khmers qui, de 1975 à 1978, ont trouvé leur salut dans la fuite vers le Viet-Nam. Le Figaro du 2 novembre 1978 notait même que "paradoxalement, le pays qui abrite le plus de réfugiés est le Viet Nam, où 350. 000 personnes se sont installées, fuyant le Cambodge". Il a fallu recevoir, loger, nourrir, soigner, éduquer ces personnes.Le H.C.R. (Haut Commissariat aux Réfugiés) a fourni pour cela une aide. Mais, pour l'essentiel, qui en a supporté la charge, sinon l'économie vietnamienne ? »
Alain Ruscio, Vivre au Viet-Nam, p.117, Chapitre 2 : le sud, victoire (s) et problèmes(s) Les réfugiés : un drame et son exploitation / Ils fuient le sous-développement, Éditions sociales, Paris, 1981.