Les multinationales françaises ont d'importants intérêts en Afrique et au Moyen-Orient
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Cet argument est utilisé dans les débats L'Europe occidentale est-elle en déclin ?, Le communisme a-t-il encore un avenir ?, Est-il nécessaire de relancer la natalité en France ?, Les pays de l'OTAN doivent-ils sanctionner la Russie pour son invasion de l'Ukraine ?, Faut-il débattre avec l'ennemi ?, Le capitalisme doit-il être renversé ?, Le capitalisme peut-il être réformé ?, Le marxisme doit-il être abandonné ? et Le marxisme est-il un totalitarisme ?.
Cet argument est une justification de Les interventions de l'OTAN sont motivées par les intérêts économiques des grandes firmes occidentales.
Résumé[ modifier ]
Citations[ modifier ]
« De Bouygues à Areva et à Bolloré, les multinationales françaises ont d’importants intérêts en Afrique et au Moyen-Orient, et le soutien armé de l’État français aux pires régimes a souvent permis d’y maintenir un ordre propice à leurs affaires. Bolloré domine la logistique et les transports en Afrique, Total pompe le pétrole du Gabon, Bouygues est présent dans le BTP et l’eau, notamment en Côte d’Ivoire. Quant à Orano, ex-Areva, elle fournit aux centrales nucléaires françaises l’uranium tiré du sol nigérien. Et la liste est loin d’être exhaustive. C’est ce pillage des richesses du continent que la présence permanente de son armée permet ainsi à la France de protéger et de perpétuer. »
« Privé de son empire colonial, l’État français a continué à intervenir militairement en Afrique, du Tchad à la Mauritanie, en passant par la Centrafrique et bien d’autres pays. Au prétexte de sauver les populations, il s’agissait toujours de garder le contrôle sur les richesses pillées par les Total et autres Bolloré. »
