Jean-Marie Le Pen entretient des relations avec d'anciens nazis et collaborationnistes
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Cet argument est utilisé dans le débat Le Rassemblement national est-il un parti fasciste ?.
Cet argument est une justification de Les Le Pen entretiennent des liens avec des personnes considérées fascistes.
Résumé
Citations
« Au début des années 1960, Jean-Marie Le Pen, n’ayant rien renié de son passé sulfureux, se rend en Espagne pour aller saluer d’anciens compagnons de combat. Il rend visite à :
- Abel Bonnard : Maurassien, il évolue vers le fascisme dans les années 1930. Partisan d’un rapprochement franco-allemand, il devient, durant la seconde guerre mondiale, une figure de la collaboration avec l’occupant nazi. Nommé ministre de l’Éducation nationale en 1942, il fait partie des « ultra » et des derniers partisans du régime de Vichy. […]
- Louis Darquier de Pellepoix : Individu politique d’extrême droite, il est principalement connu pour son engagement antisémite et pour son activité de collaborateur durant la Seconde Guerre mondiale. […]
- Léon Degrelle : Journaliste et homme politique engagé à l’extrême droite, il est surtout connu pour son engagement antisémite et pour son activité de collaborateur durant la Seconde Guerre mondiale. […] Engagé volontaire, il combattit sur le front de l’Est avec le grade de commandant dans la 28e division SS Wallonie.
- Otto SKORZENY : Il rejoint le parti nazi autrichien en 1931. Comme colonel SS, il participa à de très nombreuses opérations prestigieuses, telle que l’évasion de Mussolini d’une prison italienne, en 1944. »
Léon Landini, « Front national : Les chiens ne font pas des chats ! », janvier 1970.