Albert Mathiez occulte la terreur du printemps 1794
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Résumé[ modifier ]
Citations[ modifier ]
« De l'action de l'Incorruptible il écrit une hagiographie, où la naïveté moralisante se mêle au fanatisme partisan, pour faire de l'affreux printemps 1794 le triomphe fugitif de la fraternité, autour des lois de Ventôse et de la fête de l'Etre Suprême ; mais c'est pour conclure tristement dans le vocabulaire même de son héros : "Hélas ! Si Robespierre avait pu réunir dans un même sentiment patriotique la majorité des Français, cet instant fut court et son triomphe sans lendemain. La calomnie, l'envie la peur et le crime allaient miner son oeuvre et la république elle-même". (Etudes sur Robespierre) »
François Furet, « Histoire universitaire de la Révolution », Dictionnaire critique de la Révolution française, p.130, Interprètes et historiens (François Furet, Mona Ozouf et coll ), Champs Flammarion, Paris, 2007 (1988).