Staline a instauré un système de surveillance des militants communistes
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Résumé[ modifier ]
Citations[ modifier ]
« Un espion de l’Apparat d’Anvers avait collationné tout un tas de détails sur ma vie privée et les avait rapportés au camarade Anton, et celui-ci, ne faisant que son devoir de représentant de la Guépéou, les avait inclus dans ses rapports réguliers à Berlin. Avatin me parla très franchement du système de surveillance, du contrôle mutuel bolchevik. Les rapports étaient parvenus à Ernst Wollweber [le chef de Jan Valtin]. »
Jan Valtin, Sans patrie ni frontières, Paris, 1947.