Même au sein de l'ultradroite, les violences policières sont reconnues
Aller à la navigation
Aller à la recherche
Cet argument est utilisé dans les débats L'Europe occidentale est-elle en déclin ?, Le Rassemblement national est-il un parti fasciste ?, Le communisme a-t-il encore un avenir ?, Risquons-nous une troisième guerre mondiale ?, La violence augmente-t-elle en France depuis les années 1970 ?, La France est-elle un pays raciste ?, La violence est-elle nécessaire aux progrès socio-politiques ?, Éric Zemmour est-il fasciste ?, Pour ou contre le wokisme ?, Le capitalisme doit-il être renversé ?, Faut-il abolir la police ? et Le Rassemblement national est-il un parti d'extrême-droite ?.
Cet argument est une objection à C'est un procédé de propagande de focaliser sur quelques faits divers pour occulter l'ensemble du travail républicain de la police et Les exemples donnés sont à la marge, ils ne permettent pas de dire que le Rassemblement national établirait un Etat policier.
Mots-clés : aucun
Résumé
Si même au sein de l'ultradroite, on a un politicien RN haut-placé qui fustige (certes bien hypocritement) la répression sanglante organisée par la police, on ne peut plus vraiment qualifier les violences policières de "propagande d'extrême-gauche".
Citations
« Selon [Jordan Bardella], il y a "une forme de dérive autoritaire" dans la gestion de la crise du Covid-19 mais il reproche aussi "la brutalité à l'égard du peuple français, brutalité avec laquelle il a géré cette crise des Gilets Jaunes en commettant des violences contre la population". "C'est entièrement de sa responsabilité." »
Jordan Bardella, « «Emmanuel Macron est un candidat extrémiste», fustige Jordan Bardella », Europe 1, 17/04/2022.