Les antifas passent leur temps à préférer la violence plutôt que le dialogue avec les gens supposés comme d'extrême droite

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RésuméRésumé

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Les mouvances antifas refusent sciemment le dialogue et préconisent la violence ou l'intimidation envers les personnes et mouvements supposé "fascistes". Or, à part dialoguer avec son adversaire, il n'y a pas d'alternative autre que l'ignorer - ce que ne font pas les antifas - ou l'agresser. Donc rejeter le dialogue, c'est soit opter pour une forme d'indifférence soit préconiser une offensive violente visant à éradiquer son contradicteur - qui, si on pousse sa logique à l'extrême, est l'attitude des dictateurs fascistes et communistes qui emprisonnaient en camp leurs opposants.

CitationsCitations

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« La mouvance prétendument antifasciste, souvent qualifiée d’«antifa», entend perturber la prochaine élection présidentielle. Elle s’est notamment donné pour mission de harceler jusqu’à l’agression physique la campagne d’Éric Zemmour, pour l’empêcher de tenir ses rassemblements, ou dissuader ses militants et potentiels électeurs de s’y rendre. Les «antifas» exercent à leur manière une petite terreur contre leurs ennemis et s’autorisent contre eux un recours à la violence politique.

À Marseille, ils se sont comportés comme de véritables voyous. Et ce dimanche, en région parisienne, ils entendent encore faire taire Zemmour, et promettent une rixe devant la salle qui l’accueillera. Certains proposent même de paralyser les transports publics pour empêcher les partisans du candidat de se présenter sur les lieux. Les «antifas» agressent, saccagent, insultent, et cela, dans une indifférence quasi générale, cachant bien mal, souvent, chez certains commentateurs, une satisfaction à peine dissimulée…

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Mathieu Bock-Côté, « Mathieu Bock-Côté: «La violence des “antifas” et la présidentielle» », Le FigaroVox, 3/12/2021.

RéférencesRéférences

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Arguments pourJustifications

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Arguments contreObjections

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  • Argument contreLes antifas ne sont pas tous violents
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