Le vrai visage d'Hitler et de Mussolini ne s'est révélé que tardivement
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Cet argument est utilisé dans les débats Le Rassemblement national est-il un parti fasciste ?, La liberté d'expression doit-elle être limitée ?, Le communisme a-t-il encore un avenir ?, La démocratie est-elle le meilleur des régimes ?, Etre de gauche, est-ce nécessairement être favorable à l'immigration de masse ?, La France est-elle un pays raciste ?, Le marxisme est-il intolérant et totalitaire par nature ?, La violence est-elle nécessaire aux progrès socio-politiques ?, L'interdiction des discours haineux est-elle efficace ?, Faut-il débattre avec l'ennemi ?, Le néolibéralisme doit-il s'effondrer ?, Éric Zemmour est-il fasciste ?, Pour ou contre le wokisme ?, Le féminisme est-il encore nécessaire ?, Le capitalisme doit-il être renversé ?, Le capitalisme doit-il être réformé ?, Le capitalisme peut-il être réformé ?, Faut-il accepter l'immigration ? et Le Rassemblement national est-il un parti d'extrême-droite ?.
Cet argument est une justification de De tous temps, les fascistes ont agi comme des loups déguisés en agneaux.
Cet argument est une objection à Après le coup d'état antidémocratique de 1923 Hitler a exprimé dans Mein Kampf toutes ses intentions, Hitler critiquait ouvertement la démocratie, Hitler et Mussolini annonçaient clairement qu'ils voulaient abolir la démocratie et Hitler et Mussolini inspiraient la terreur et utilisaient des milices, ce qui n'est pas le cas du Rassemblement national.
Mots-clés : aucun
Résumé
Un certain nombre de contemporains d'Hitler et Mussolini dressent d'eux un portrait très élogieux sans savoir que la suite des événements allait leur donner tort, ce qui ne serait pas arrivé si les principaux concernés avaient directement usé de la terreur.
Citations
« Mussolini ne pense qu'au bien-être des italiens. »
Winston Churchill, 1927.
« M. Hitler s'est souvent posé en champion de la paix. On n'a aucune raison de mettre en doute sa sincérité. »
Le Temps, 1 septembre 1938.
« Mon oncle est un homme de paix. Il pense que la sacrifier pour la guerre, cela n'en vaut pas la chandelle. »
Willy Hitler.
« En dépit de la dureté et du caractère impitoyable que j'ai vu sur son visage […], j'ai eu l'içmpression que j'étais en face d'un homme en qui on pouvait avoir confiance une fois qu'il a donné sa parole. »
Sir Neville Chamberlain, 30 septembre 1938.
« M. Hitler est par nature un artiste et non politique et, une fois réglée la question de la pologne,, il se propose de finir ses jours en artiste et non en faiseur de guerre. »
Sir Neville Chamberlain, 25 août 1939.