Le climatoscepticisme est courant dans les milieux libéraux
Cet argument est utilisé dans les débats Le communisme a-t-il encore un avenir ?, Le néolibéralisme doit-il s'effondrer ?, Un capitalisme vert est-il possible ?, Le capitalisme doit-il être renversé ? et Le réchauffement climatique est-il d'origine humaine ?.
Cet argument est une justification de Le capitalisme a longtemps été hostile (et l'est encore dans une certaine mesure) à l'écologie et Le capitalisme perturbe et détruit les écosystèmes.
Cet argument est une objection à Le changement climatique va imposer un système économique écologique, Le réchauffement climatique est un mythe et Le réchauffement climatique n'a pas des causes humaines.
Résumé
Citations
« Les partisans d’une économie libérale, la moins dirigée possible, voire pas dirigée du tout, sans code du travail si possible, sont évidemment embarrassés par le réchauffement climatique, car, s’il est avéré, les conséquences néfastes qui en découlent, et qui sont bien connues, imposent un minimum de « sobriété » économique, donc un minimum de dirigisme. L’économie libérale étant supposée faire le bonheur du genre humain, ils ne peuvent admettre qu’elle puisse nuire à l’environnement et ainsi ruiner le bonheur promis. Or, Madelin est un libéral convaincu. L’on ne s’étonne pas de le voir opter pour le « climato-réalisme » sur le plateau de BFMTV. »
« Les négationnistes du climat étudient les cernes de croissance des arbres, les carottes de glace et les concentrations de gaz à effet de serre parce qu'ils sont passionnés par la liberté, en particulier celle des industries à mener leurs affaires sans être contraintes par des réglementations gouvernementales restrictives. »
