La haine d'un groupe perçu comme oppresseur sert à justifier des génicides
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Cet argument est utilisé dans le débat La liberté d'expression doit-elle être limitée ?.
Cet argument est une objection à La haine des dominants et des oppresseurs permet les révolutions et les progrès collectifs.
Mots-clés : aucun
Résumé
On pense notamment à la tchéka ou au génocide rwandais, tous deux se servaient d'une oppression fantasmée ou non comme justification.