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En envahissant l'Ukraine, la Russie viole les règles fondamentales du droit international
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L'invasion de l'Ukraine par la Russie constitue un crime d'agression
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La Russie est passible de crimes de guerre
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La Russie est passible de crimes contre l'humanité
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Les "démocraties" de l'OTAN n'ont eu aucun problème avec les méthodes dictatoriales de Vladimir Poutine quand celles-ci servaient les intérêts de l'OTAN
« Biden et Macron fustigent Poutine parce qu’il déploie des troupes aux portes de l’Ukraine. Mais quand, début janvier, le même Poutine a envoyé 3 000 parachutistes russes pour aider le dictateur du Kazakhstan à mater la révolte ouvrière, leur silence a été assourdissant. Au Kazakhstan, il s’agissait de réprimer des ouvriers qui protestaient contre la vie chère. L’enjeu était de sauver les profits de Total, Chevron, ArcelorMittal et autres trusts occidentaux qui exploitent les ressources et les travailleurs de ce pays ex-soviétique. Pour réprimer les révoltes, Poutine, Biden et Macron sont complices ! »
Voir plus...Voir les citations restantes dans la page détaillée de l'argument.« Le dictateur [Poutine] ne provoqua aucune réaction des puissances occidentales en déclenchant une deuxième guerre en Tchétchénie, en 2004, faisant au moins 150 000 victimes, pour mater toute velléité d’indépendance. Et en janvier dernier les « grandes démocraties » ne se sont pas plus indignées quand Poutine a envoyé son armée au Kazakhstan pour écraser dans le sang la révolte ouvrière contre la cherté de la vie. La réalité des intérêts des trusts américains, anglais et français, dans ce pays qui concentre une bonne part des réserves mondiales de pétrole ou encore d’uranium, a été plus forte que les postures et les mensonges sur les grands principes démocratiques ! »
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Les pays de l'OTAN n'ont aucune leçon à donner à la Russie en matière de paix et de démocratie
« Les uns et les autres se moquent du sort des Ukrainiens comme de tous les peuples qu’ils oppriment eux-mêmes partout dans le monde.
Ils se prétendent les champions de la liberté, mais ils empêchent des femmes et des hommes de circuler librement pour fuir la guerre ou la misère. Ils ont reconstitué un rideau de fer en installant des barbelés qui provoquent la mort de nombreux migrants entre la Biélorussie et la Pologne.
Ils prônent la paix et la démocratie, mais ils entretiennent une multitude de guerres régionales meurtrières et arment des dictateurs. Macron fait la leçon à Poutine, mais la France maintient des troupes dans neuf pays d’Afrique. Au Burkina Faso ou au Mali, ses troupes apparaissent si peu comme des libératrices qu’elles sont conspuées par la population.
En Europe de l’Est, comme en Afrique ou en Asie, les grandes puissances interviennent pour défendre les intérêts de leurs capitalistes respectifs, en lutte pour se partager les marchés et accéder aux matières premières. »
Voir plus...« Biden et ses alliés se moquent bien de la souveraineté de l’Ukraine et de la démocratie qu’ils prétendent défendre pour justifier leur politique. Comme si les dirigeants américains avaient été gênés de violer la souveraineté de l’Afghanistan et de l’Irak, qu’ils ont envahis en inventant les mensonges les plus grossiers ! Quand les militaires français interviennent en Afrique, c’est pour défendre Total, Bouygues et la Françafrique, pas les droits démocratiques des populations. Cela finit tellement par se voir que des manifestations ont eu lieu récemment dans plusieurs pays pour exiger leur départ. »
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Les États-Unis s'assoient sur les règles du droit international
« Mercredi 16 mars, le président américain Joe Biden a qualifié Poutine de « criminel de guerre ». Le secrétaire d’État Antony Blinken est même allé jusqu’à rendre hommage au procureur de la Cour pénale internationale (CPI), qui pourrait mettre en accusation le dirigeant russe. [Mais] Les États-Unis, eux, ne reconnaissent toujours pas la compétence de la même CPI, refusant de rendre le moindre compte sur leurs interventions ces dernières années en Afghanistan et en Irak. Quand la CPI avait eu la velléité de juger des crimes de guerre commis après l’invasion de l’Irak par l’armée américaine, l’administration Trump avait même menacé ses magistrats de poursuites judiciaires, du gel de leurs avoirs et de la révocation de leur visa pour les États-Unis. »
Vladimir Poutine ne cache pas son intention d'annexer d'autres territoires européens
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Vladimir Poutine est un dictateur aux méthodes cyniques et brutales
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Les "démocraties" de l’OTAN n’ont eu aucun problème avec les méthodes dictatoriales de Vladimir Poutine quand celles-ci servaient les intérêts de l’OTAN
« Biden et Macron fustigent Poutine parce qu’il déploie des troupes aux portes de l’Ukraine. Mais quand, début janvier, le même Poutine a envoyé 3 000 parachutistes russes pour aider le dictateur du Kazakhstan à mater la révolte ouvrière, leur silence a été assourdissant. Au Kazakhstan, il s’agissait de réprimer des ouvriers qui protestaient contre la vie chère. L’enjeu était de sauver les profits de Total, Chevron, ArcelorMittal et autres trusts occidentaux qui exploitent les ressources et les travailleurs de ce pays ex-soviétique. Pour réprimer les révoltes, Poutine, Biden et Macron sont complices ! »
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Vladimir Poutine est devenu fou
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Argument psychophobe
Assimiler la folie à la dangerosité est statistiquement inexact (la majorité des personnes dangereuses ne souffrent d'aucune pathologie mentale) et entretient des préjugés dangereux envers les personnes neuroatypiques.
Attribuer la guerre en Ukraine à la folie de Poutine sert à éluder les causes réelles du conflit
« Des commentateurs présentent Poutine comme un dangereux fou furieux. Comme si se focaliser sur la personnalité de tel ou tel dirigeant épuisait la question ! Mais pour ceux qui font l’opinion, cela a un grand avantage : celui d’éluder les causes réelles de la guerre, non seulement du côté russe, mais du côté des États impérialistes. »
La guerre en Ukraine n'est pas due à la personnalité de Poutine, mais à la rivalité économique entre grandes puissances
« La situation actuelle n’est pas due à la personnalité de Vladimir Poutine, mais à la guerre économique qui règne sur la planète et qui ne peut manquer, tant que le capitalisme règnera, de se transformer à un moment ou à un autre en guerre tout court. »
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La guerre en Ukraine n'est que le reflet des ambitions expansionnistes de Poutine
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La guerre actuelle en Ukraine est le résultat de la rivalité instaurée entre les pays de l'OTAN et la Russie depuis des décennies
« Dès les années 1990, l’impérialisme a commencé à avancer ses pions dans tout l’espace ex-soviétique. Le capitalisme était bien incapable d’assimiler l’économie construite à l’époque soviétique. Mais il était prêt à exploiter ce qui pouvait lui être profitable, c’est-à-dire des marchés où exporter ses capitaux, des matières premières, de la main-d’œuvre qualifiée à moindre coût. Une rivalité s’instaura aussitôt entre la Russie de Poutine, qui cherchait à reconstituer des partenariats avec les ex-républiques soviétiques en préservant les liens économiques historiques indispensables, et l’impérialisme qui s’efforçait de les attirer aux dépens de la Russie. […] La question des relations avec l’Ukraine, qui a débouché sur la crise de 2014 et en fin de compte sur la guerre actuelle, après d’autres conflits en Géorgie, en Moldavie, en Arménie, illustre cette rivalité. »
Voir plus...« Les États impérialistes, à commencer par les États-Unis, ont évidemment vu la fin de l’URSS d’un œil favorable. Les dirigeants russes qui étaient, de l’aveu de Poutine, tout prêts à coopérer ont dû se rendre compte que l’impérialisme voulait une Russie à genoux, soumise à son bon vouloir et réduite à la portion congrue. […] La situation actuelle est due […] à la guerre économique qui règne sur la planète. »
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Par son invasion, la Russie empêche l'Ukraine de produire des ressources qui participent à la stabilité alimentaire, économique et sociale mondiale
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Les pays de l'OTAN n'ont aucune leçon à donner à la Russie en matière de paix et de démocratie
« Les uns et les autres se moquent du sort des Ukrainiens comme de tous les peuples qu’ils oppriment eux-mêmes partout dans le monde.
Ils se prétendent les champions de la liberté, mais ils empêchent des femmes et des hommes de circuler librement pour fuir la guerre ou la misère. Ils ont reconstitué un rideau de fer en installant des barbelés qui provoquent la mort de nombreux migrants entre la Biélorussie et la Pologne.
Ils prônent la paix et la démocratie, mais ils entretiennent une multitude de guerres régionales meurtrières et arment des dictateurs. Macron fait la leçon à Poutine, mais la France maintient des troupes dans neuf pays d’Afrique. Au Burkina Faso ou au Mali, ses troupes apparaissent si peu comme des libératrices qu’elles sont conspuées par la population.
En Europe de l’Est, comme en Afrique ou en Asie, les grandes puissances interviennent pour défendre les intérêts de leurs capitalistes respectifs, en lutte pour se partager les marchés et accéder aux matières premières. »
Voir plus...« Biden et ses alliés se moquent bien de la souveraineté de l’Ukraine et de la démocratie qu’ils prétendent défendre pour justifier leur politique. Comme si les dirigeants américains avaient été gênés de violer la souveraineté de l’Afghanistan et de l’Irak, qu’ils ont envahis en inventant les mensonges les plus grossiers ! Quand les militaires français interviennent en Afrique, c’est pour défendre Total, Bouygues et la Françafrique, pas les droits démocratiques des populations. Cela finit tellement par se voir que des manifestations ont eu lieu récemment dans plusieurs pays pour exiger leur départ. »
Les pays de l'OTAN n'ont eu aucun problème à violer la souveraineté de l'Irak et de l'Afghanistan
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Les pays de l'OTAN sont responsables de multiples crimes de guerre
« Il faut une sacrée dose de cynisme aux dirigeants occidentaux pour se poser en colombes de la paix et réclamer la comparution de Poutine devant un tribunal international pour « crime de guerre ». Qu’est-ce pour eux qu’une guerre normale, respectant le prétendu « droit international » et où commence le « crime de guerre » ? Du Vietnam à l’Irak, de la Syrie à l’Afghanistan, toutes les guerres américaines se sont accompagnées de massacres de civils et d’atrocités sans nom. Quelques-uns ont choqué le monde : massacre de My Lai au Vietnam en 1968, tortures et viols dans la prison d’Abou Ghraïb, et assassinats de milliers de civils en Irak dans les années 2000. Combien de civils ont été tués dans les bombardements américains sur Belgrade, Bagdad, Tripoli, Mossoul ? Combien de civils palestiniens ont été tués dans les bombardements récurrents de l’armée israélienne sur la bande de Gaza ? Combien de civils, d’enfants et de vieillards, l’ont été lors du massacre de Sabra et Chatila en 1982 au Liban par les phalangistes chrétiens alliés à l’armée israélienne ? Et l’armée française n’est pas en reste. Les huit années de la guerre d’Algérie ont connu bien plus de représailles contre des villages algériens, de regroupements forcés dans des camps et de bombardements au napalm que de batailles rangées entre militaires. Au Rwanda, en 1994, l’armée française a soutenu jusqu’au bout les génocidaires hutus. Plus récemment, des militaires français ont violé en Centrafrique. D’autres, au Mali, ont tué des dizaines de civils en ouvrant le feu sur des véhicules, sur un mariage. Voilà quelques épisodes glorieux des dirigeants occidentaux pour maintenir coûte que coûte leur ordre mondial tout en prétendant défendre la démocratie. Ces atrocités ne sont pas des bavures. Elles sont inhérentes à des guerres d’occupation, conduites par des soldats chauffés à blanc et poussés à tuer, sous les ordres d’officiers méprisant les populations. Si Poutine est bien un criminel, Biden, Macron, leurs prédécesseurs comme les grands bourgeois dont ils défendent les intérêts le sont au même titre. »
Les pays de l'OTAN interviennent aux quatre coins du monde dans des guerres qui ne disent pas leur nom
« Si le dictateur Poutine est bien celui qui a franchi le pas de l’invasion militaire, c’est le résultat d’une escalade dont les puissances impérialistes ont été parties prenantes. L’OTAN, alliance militaire créée en 1949 sous la houlette de l’impérialisme américain contre l’URSS, a renforcé sa pression militaire, même après 1991 et la dislocation de l’Union soviétique. Elle a intégré douze États supplémentaires entre 1997 et 2009, le long de la façade ouest de la Russie. »
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Les pays de l'OTAN mettent en place et soutiennent des dictatures aux quatre coins de la planète
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Les États-Unis maintiennent des bases militaires dans le monde contre la volonté des peuples concernés
« Les dirigeants américains disent défendre le droit des peuples à disposer d’eux-mêmes. Ce n’est pas ce qui les a inspirés pour établir ces postes avancés. Ainsi, la célèbre base de Guantanamo a été imposée à Cuba par les États-Unis en 1901, sans limitation de durée, moyennant un modique loyer, et il est avéré que ni le gouvernement ni le peuple cubain n’en veulent. Le régime castriste n’accepte d’ailleurs pas d’encaisser les loyers.
Dans l’île d’Okinawa, au sud du Japon, la population est exaspérée par le comportement de voyous de nombre de militaires de la base. Ceux-ci ont été en quelques années responsables de 6 000 crimes et délits, dont 66 meurtres et 139 viols. Des manifestations et un référendum ont exigé le départ de la base… sans succès, car le gouvernement japonais veut son maintien.
Un autre cas est le petit atoll de Diego Garcia, au milieu de l’océan Indien. Vestige des temps coloniaux, ce minuscule territoire appartient à la Grande-Bretagne, qui permet aux États-Unis d’y entretenir une base militaire de grande taille. L’île Maurice, évidemment bien plus proche, revendique ce territoire. Bien qu’un tribunal international lui ait reconnu ce droit, la Grande-Bretagne et les États-Unis maintiennent cette base. Les habitants de cette île, à peine 2 000 à 3 000 personnes, ont été déportés en 1973 vers les Seychelles et l’île Maurice avec interdiction de revenir, apparemment en application du droit de l’impérialisme à disposer d’un peuple ! »
Les "démocraties" de l'OTAN n'ont eu aucun problème avec les méthodes dictatoriales de Vladimir Poutine quand celles-ci servaient les intérêts de l'OTAN
« Biden et Macron fustigent Poutine parce qu’il déploie des troupes aux portes de l’Ukraine. Mais quand, début janvier, le même Poutine a envoyé 3 000 parachutistes russes pour aider le dictateur du Kazakhstan à mater la révolte ouvrière, leur silence a été assourdissant. Au Kazakhstan, il s’agissait de réprimer des ouvriers qui protestaient contre la vie chère. L’enjeu était de sauver les profits de Total, Chevron, ArcelorMittal et autres trusts occidentaux qui exploitent les ressources et les travailleurs de ce pays ex-soviétique. Pour réprimer les révoltes, Poutine, Biden et Macron sont complices ! »
Voir plus...Voir les citations restantes dans la page détaillée de l'argument.« Le dictateur [Poutine] ne provoqua aucune réaction des puissances occidentales en déclenchant une deuxième guerre en Tchétchénie, en 2004, faisant au moins 150 000 victimes, pour mater toute velléité d’indépendance. Et en janvier dernier les « grandes démocraties » ne se sont pas plus indignées quand Poutine a envoyé son armée au Kazakhstan pour écraser dans le sang la révolte ouvrière contre la cherté de la vie. La réalité des intérêts des trusts américains, anglais et français, dans ce pays qui concentre une bonne part des réserves mondiales de pétrole ou encore d’uranium, a été plus forte que les postures et les mensonges sur les grands principes démocratiques ! »
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Les interventions de l'OTAN prétendent protéger les populations, mais elles défendent en réalité les intérêts économiques des grandes sociétés occidentales
« Pour asseoir et consolider sa domination sur le monde, l’impérialisme américain a toujours eu besoin de se présenter comme le champion de la démocratie et du droit des peuples. Pourtant, son histoire, comme celle de tous les autres impérialismes, est une succession de guerres faites à des peuples entiers pour les asservir, à commencer par ceux du continent américain, de soutien à toutes sortes de dictatures, d’interventions militaires, en Amérique latine, en Europe au cours de deux guerres mondiales, au Vietnam, au Moyen-Orient… Tout au long de cette histoire sanglante, les dirigeants des États-Unis n’étaient guidés que par une seule véritable préoccupation : défendre les intérêts de leur bourgeoisie face à ses concurrents, et lui garantir sa part du butin dans le pillage et l’exploitation des peuples et des travailleurs du monde entier. »
Voir plus...« Privé de son empire colonial, l’État français a continué à intervenir militairement en Afrique, du Tchad à la Mauritanie, en passant par la Centrafrique et bien d’autres pays. Au prétexte de sauver les populations, il s’agissait toujours de garder le contrôle sur les richesses pillées par les Total et autres Bolloré. Et tant pis si cela se traduisait en interventions militaires sanglantes pour soutenir ou installer au pouvoir les pires dictateurs « amis ». Quant à l’intervention au Mali, censée protéger la population des exactions des terroristes, elle n’a abouti qu’à renforcer les djihadistes tout en confortant la domination de régimes corrompus. »
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Les "démocraties" de l'OTAN n'ont eu aucun problème avec les méthodes dictatoriales de Vladimir Poutine quand celles-ci servaient les intérêts de l'OTAN
« Biden et Macron fustigent Poutine parce qu’il déploie des troupes aux portes de l’Ukraine. Mais quand, début janvier, le même Poutine a envoyé 3 000 parachutistes russes pour aider le dictateur du Kazakhstan à mater la révolte ouvrière, leur silence a été assourdissant. Au Kazakhstan, il s’agissait de réprimer des ouvriers qui protestaient contre la vie chère. L’enjeu était de sauver les profits de Total, Chevron, ArcelorMittal et autres trusts occidentaux qui exploitent les ressources et les travailleurs de ce pays ex-soviétique. Pour réprimer les révoltes, Poutine, Biden et Macron sont complices ! »
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A la naissance de l'OTAN, en 1949, l'un des douze signataires de la charte s'appelait Antonio de Olivarro de Salazar
L'OTAN ne naquit pas du combat de la démocratie contre la dictature mais de la défense du capitalisme. Le dictateur du Portugal Salazar avait signé la charte en avril 1949. Face à l'URSS les Etats-Unis se devaient d'obtenir du régime le droit à l'installation de bases militaires aux Açores.
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