L'usage de la terreur soviétique peut être comparé à l'usage de la terreur par le nazisme
Cet argument est utilisé dans le débat Pour ou contre le communisme ?.
Cet argument est une justification de Le communisme est un régime de terreur.
Résumé
Citations
« Notre propos n’est pas ici d’établir on ne sait quelle macabre arithmétique comparative, quelle comptabilité en partie double de l’horreur, quelle hiérarchie dans la cruauté. Les faits sont pourtant têtus et montrent que les régimes communistes ont commis des crimes concernant environ cent millions de personnes, contre environ 25 millions de personnes au nazisme. Ce simple constat doit au moins inciter à une réflexion comparative sur la similitude entre le régime qui fut considéré à partir de 1945 comme le régime le plus criminel du siècle, et un système communiste qui a conservé, jusqu’en 1991, toute sa légitimité internationale et qui, jusqu’à aujourd’hui, est au pouvoir dans certains pays et garde des adeptes dans le monde entier. »
Références
Justifications
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Le romancier Georges Steiner fait parler en ce sens Hitler jugé en Amazonie par des chasseurs de nazis
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Il y a eu globalement plus de victimes des régimes communistes que du régime nazi
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L'URSS a fomenté des campagnes antisémites
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Le communisme a éliminé des groupes entiers de populations civiles, par exemple les koulaks en Ukraine
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Les régimes communistes et l'URSS utilisent le lavage de cerveau, la torture, la police politique, le Parti unique, comme le régime nazi
Objections
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Ce fut par centaines de milliers et non par dizaines de millions que l'on compte le nombre de morts du communisme stalinien -
On ne doit pas non plus oublier les morts du fascisme nippon, premier régime à avoir signé une alliance avec Hitler
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Le communisme n'a pas engendré de régimes racistes
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Dans les années 1930 la plupart des koulaks déportés ne sont pas morts
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Moins de 2 millions de koulaks ont été déportés et moins de 500.000 d'entre eux ont péri au début du régime stalinien
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Les nazis déportaient les communistes, qu'ils considéraient à raison comme leurs ennemis
Débat parent