L'existence d'un courant rouge-brun est contestée
Aller à la navigation
Aller à la recherche
Cet argument est utilisé dans les débats Le Rassemblement national est-il un parti fasciste ?, Le communisme a-t-il encore un avenir ?, Etre de gauche, est-ce nécessairement être favorable à l'immigration de masse ?, La France est-elle un pays raciste ?, Le marxisme est-il intolérant et totalitaire par nature ?, Faut-il débattre avec l'ennemi ?, Éric Zemmour est-il fasciste ?, Pour ou contre le wokisme ?, Le capitalisme doit-il être renversé ?, Le capitalisme peut-il être réformé ?, Le marxisme doit-il être abandonné ?, Faut-il accepter l'immigration ? et Le Rassemblement national est-il un parti d'extrême-droite ?.
Cet argument est une objection à Certains responsables nazis et communistes trouvèrent des affinités entre leurs mouvements, Communistes et nazis se sont souvent trouvés complices avant que Hitler ne rompe le pacte germano-soviétique et Il a existé et existe encore un courant "rouge-brun" qui prône l'alliance des communistes et de l'exrême-droite contre les capitalistes libéraux.
Mots-clés : aucun
Résumé
Citations
« Quand on analyse les mouvements dits « rouges-bruns » on ne trouve pas d'alliage avec la gauche, ni dans le capital militant, ni dans le substrat idéologique. C'est une affaire de propagande et d'auto-représentation. Même dans le cas italien, où on a une extrême droite à la fois ultra radicale et imaginative, avec ce que la presse surnomma au début des années 1970 le « nazi-maoïsme », il s'agit d'une rénovation ultra du fascisme. »
Rudy Reichstadt, « « Complot », « théorie du complot »… et si on s’arrêtait deux minutes ? », ConspiracyWatch, 27 mai 2011.
Références
- Les libéraux et l’épouvantail rouge-brun, Ramzi Kebaïli, Le Média, 2 octobre 2018.