Il existe certaines oppressions sexistes plus spécifiques aux quartiers populaires
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Cet argument est une objection à Il n'y a pas besoin d'un traitement spécifique des questions féministes dans les quartiers populaires.
Résumé
Comme on l'a vu surtout au tournant des années 2000, les médias ont parlé de phénomènes d'oppression des femmes plus spécifiques aux quartiers populaires, comme les fameuses "tournantes", ou plus récemment le harcèlement de rue (cf le quartier de la Goutte d'or à Paris), sans parler des certificats de virginité ou de l'excision. Ces phénomènes ne peuvent pas être déniés, on ne peut pas jeter un voile pudique sur eux par peur de "stigmatiser". Dans une société multiculturelle, on se trouve confrontés à des cultures diverses, qui ont leurs spécificités, notamment en matière de relations hommes/femmes et de force du patriarcat.
Citations
Références
- Patrick Lovett, Elom Toble, « Vidéo : dans certains quartiers de France, les femmes doivent faire profil bas », France 24, 19/12/2016.
- Florence Ciaravola, « Pas de quartier pour la violence faite aux femmes », L'humanité, 11/07/2010.