Des élus/candidats Rassemblement national se sont rendus coupables de faits de violences
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Cet argument est utilisé dans les débats Le Rassemblement national est-il un parti fasciste ?, Éric Zemmour est-il fasciste ? et Le Rassemblement national est-il un parti d'extrême-droite ?.
Cet argument est une justification de L'extrême-droite cache de moins en moins sa violence.
Cet argument est une objection à Le Rassemblement national n'attaque pas physiquement ses adversaires et Le Rassemblement national n'utilise pas la terreur ni la violence de rue.
Mots-clés : aucun
Résumé
Citations
« Philippe Chapron est candidat dans la 5ᵉ circonscription du Calvados. Il est militant de la première heure du Front national, et militait dans des groupuscules pro-nazis, ainsi qu’au GUD. Il a plus tard assumé totalement son appartenance au groupuscule néofasciste « Ordre nouveau ». »
Auteur non renseigné, « Les « brebis galeuses » de Bardella : des dizaines de candidats RN racistes et néonazis », L'insoumission, 05 juillet 2024.
Références
- Abus de pouvoir, harcèlement moral, accusation de viol… La dérive trash de Christophe Bay, directeur de campagne de Le Pen, Tristan Berteloot, Libération, 29 novembre 2021.
- Un député RN accusé de violences par son assistante parlementaire, Jean-Michel Décugis, Le Parisien, 28 janvier 2024.
- Législatives 2024 en Mayenne : Une candidate RN avait été condamnée pour « séquestration avec arme », Frédéric Brenon, 20 Minutes, 02/07/2024.
- Deux plaintes d’anciens du RN contre le directeur de cabinet de Sébastien Chenu, La voix du nord.