Beaucoup de personnes qui luttent pour des progrès humains sont anti-wokes
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Cet argument est utilisé dans le débat Pour ou contre le wokisme ?.
Cet argument est une objection à L'anti-wokisme ne sert qu'à diaboliser les luttes pour la justice sociale et légitimer des persécutions institutionnalisées.Mots-clés : Wokisme
Résumé[ modifier ]
Prenons le cas de la philosophe Sylviane Agincinsy : elle a lutté pour le Pacs puis pour le mariage homosexuel. Pourtant elle a été traitée "d'homophobe notoire" par des wokes, parce qu'elle critiquait d'autres réformes (voir https://www.marianne.net/societe/sylviane-agacinski-censuree-le-nouveau-visage-du-fascisme-universitaire ). Des progressistes qui n'adhèrent pas à toutes les thèses wokes sont vus comme des "ennemis", alors même qu'ils ont travaillé pour d'autres progrès. Les wokes sont dans la surenchère et l'extrême.
Citations[ modifier ]
Références[ modifier ]
Justifications[ modifier ]
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Le point commun de beaucoup d'anti-woke est de défendre les Lumières, qui par essence vont à l'encontre du fascisme -
Les wokes reprennent sans le savoir les idées de philosophes anti-Lumières et différencialistes
Objections[ modifier ]
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Être progressiste n'empêche pas de devenir réactionnaire
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L'anti-wokisme est le paravent de l'extrême-droite
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La très grande majorité des anti-woke sont réactionnaires
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Les gauchistes du courant "printemps républicain" défendent une branche de la gauche pas si éloignée des idées réactionnaires