Au Luc, valse des directeurs, menaces et charte « Ma commune sans migrant »...

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« Finis les états d’âme qui caractérisaient les deux maires précédents qui ont jeté l’éponge dans la commun varoise du Luc. Avec Pascal Verrelle, Le Luc dispose d’un maire FN droit dans ses bottes. D’abord, il fait le ménage dans ses services. On en est au quatrième directeur général des services ; ensuite, afin d’augmenter son pécule, le maire s’est fait voter une indemnité supplémentaire forfaitaire pour frais de 350 euros par mois. Mais surtout, le maire n’a pas peur de payer de sa personne. Il se permet des menaces physiques contre un responsable de l’association Ensemble pour Le Luc, membre de la Codex 83 (Coordination départementale contre l’extrême droite) ; une plainte a été déposée avec preuve enregistrée de cette « conversation » à l’appui. Depuis octobre 2017, le maire a trouvé son nouveau cheval de bataille : les migrants. Prévoyant, il avait fait adopter en 2016 par le conseil municipal une charte : « Ma commune sans migrant ». Ensemble pour Le Luc l’a contestée devant le tribunal administratif mais a été débouté. Informé fin octobre 2017 par le préfet de l’arrivée probable d’ici début 2018 d’une trentaine de migrants dans un foyer sur sa commune, le maire s’est fendu d’une lettre aux habitants du Luc, où il accusait les migrants d’être des « clandestins » de faire peser sur Le Luc un risque économique car cela fera fuir des investisseurs… Heureusement, dans le Var, comme dans beaucoup d’autres régions, la solidarité concrète avec les migrants s’organise et ce n’est pas cette prose honteuse qui la freinera, même au Luc. »

RéférencesRéférences

Arguments pourJustifications

Arguments contreObjections

  • Argument contreLes élus RN ont été élus en grande partie pour faire barrage aux migrants, il est logique qu'ils mettent des restrictions aux migrants