Associer l'extrême-droite et les milices est un raccourci inutile
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Cet argument est utilisé dans les débats Le Rassemblement national est-il un parti fasciste ?, La liberté d'expression doit-elle être limitée ?, Le communisme a-t-il encore un avenir ?, La démocratie est-elle le meilleur des régimes ?, Etre de gauche, est-ce nécessairement être favorable à l'immigration de masse ?, La France est-elle un pays raciste ?, Le marxisme est-il intolérant et totalitaire par nature ?, La violence est-elle nécessaire aux progrès socio-politiques ?, L'interdiction des discours haineux est-elle efficace ?, Faut-il débattre avec l'ennemi ?, Le néolibéralisme doit-il s'effondrer ?, Éric Zemmour est-il fasciste ?, Pour ou contre le wokisme ?, Le féminisme est-il encore nécessaire ?, Le capitalisme doit-il être renversé ?, Le capitalisme doit-il être réformé ?, Le capitalisme peut-il être réformé ?, Faut-il accepter l'immigration ? et Le Rassemblement national est-il un parti d'extrême-droite ?.
Cet argument est une justification de L'extrême-droite caricature le fascisme pour se dédouaner de son héritage et L'extrême-droite ment sur ce qui caractérise un mouvement d'extrême-droite.
Cet argument est une objection à Le Rassemblement national n'a pas de milices armées, Le Rassemblement national n'utilise pas la terreur ni la violence de rue, Ni Zemmour ni Marine Le Pen ne lancent des milices dans les rues, Pour un parti fasciste posséder une milice est toujours une nécessité pour semer la terreur, sinon ce n'est plus un parti fasciste et Zemmour ne lance pas de milices dans les rues et ne terrorise personne.
Mots-clés : aucun
Résumé
Les positions politiques d'extrêmes droite sont débattables, mais l'utilisation d'une milice pour soutenir son point de vue par la violence n'est pas un argument politique nécessaire (ni exclusifs) aux candidats de cet alignement. Par ailleurs, aucun politologue ne le considère comme un critère pour qualifier un mouvement d'extrême-droite.
Cette idée contribue à renforcer l'idée que être d'extrême droite est une faute morale objective et non pas une position politique en soi.