Soutenir au lieu de signaler les employeurs en faillite
Résumé
En 2012, 576 employeurs sont en faillite, subventionnés de 25 millions d’euros pour restructurations.
Le 29/01/2024, ADEDOM, ADMR, FEHAP, AAFP, MUTUALITE FRANÇAISE, NEXEM, UNA reconnaissent que 25% de leurs structures sont en faillite, après 100 millions d’euros de subventions pour restructurations en 2023, 300 depuis 2012.
Le 18/09/2024, UNA reçoit 10,9 millions d’euros.
Or, quand les employeurs sont en faillite, la situation conflictuelle entre employeur et employé combinée avec les retards de paiement des salaires aggravent l’absentéisme des intervenants, ce qui aggrave les privations infligées aux usagers.
Les employeurs en faillite sont des employeurs malfaisants.
Ainsi, soutenir au lieu de signaler les employeurs malfaisants est une faute volontaire de gestion, avec pour intentions
1. faire profiter au maximum aux employeurs des deniers publics : plus vous êtes malfaisants, plus vous êtes financés,
2. maltraiter au maximum les usagers pris en otage,
3. empêcher YouTime de leur venir au secours avec ses services SMS-1-2, REMP, SIGNAL-1-2 et BILAN.