Ni l'URSS ni l'Allemagne ne faisaient grand cas du pacte germano-soviétique
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Cet argument est utilisé dans les débats Le Rassemblement national est-il un parti fasciste ?, Le communisme a-t-il encore un avenir ?, Etre de gauche, est-ce nécessairement être favorable à l'immigration de masse ?, La France est-elle un pays raciste ?, Le marxisme est-il intolérant et totalitaire par nature ?, Faut-il débattre avec l'ennemi ?, Éric Zemmour est-il fasciste ?, Pour ou contre le wokisme ?, Le capitalisme doit-il être renversé ?, Le capitalisme peut-il être réformé ?, Le marxisme doit-il être abandonné ?, Faut-il accepter l'immigration ? et Le Rassemblement national est-il un parti d'extrême-droite ?.
Cet argument est une objection à Communistes et nazis se sont souvent trouvés complices avant que Hitler ne rompe le pacte germano-soviétique.
Mots-clés : aucun
Résumé
Hitler qualifiait le pacte de non-agression de "chiffon de papier" qui lui permettrait d'écraser plusieurs pays à l'ouest et être alimenté en ressources par l'URSS qu'il avait déjà l'intention d'écraser par après, cette dernière étant toujours considérée comme l'ennemi, tandis que Staline n'y voyait qu'un moyen pour gagner du temps afin de pouvoir reconstruire son armée décimée par les purges qu'il avait lui-même organisées et envahir les pays inclus dans le traité. Il est donc évident que les germes de la rupture du pacte germano-soviétique étaient déjà présents dès sa signature, et si les deux parties y trouvaient un intérêt, les pays signataires n'étaient pas alliés pour autant.