Les migrants sont peu employables dans nos pays
Résumé
Citations
« Dans les médias, on occulte la distinction entre les réfugiés politiques et les migrants économiques pour ne pas « faire de tri ». On valorise leur « formation » mais on oublie les études sur l’insertion professionnelle de ces migrants qui est très limitée. Si un pays n’a pas la capacité de donner du travail à ceux qu'il accepte, il renforce le nombre de chômeurs, leur précarisation et le coût d'une opération supportée par l'Etat et les contribuables. »
« New statistics released by a senior German academic confirm previous forecasts suggesting the majority of so-called Syrian refugees coming to Europe are functionally illiterate and have no hope of joining the job market. »
« Les migrants arrivés lors de la crise migratoire ont atteint lors de tests cognitifs non biaisés culturellement le niveau d’élèves de Hauptschule, (équivalent de collèges d’enseignement professionnel pour élèves faibles, âgés de 10 à 15 ans en général)
C’est ce qu’a rapporté le psychologue Bruno Klauk lors de la 23e réunion de la société de psychologie économique appliquée, la semaine dernière à Berlin. Grâce à une étude de plusieurs mois concernant 500 demandeurs d’asile volontaires, Klauk a établi le QI moyen de cet échantillon à 90, à peine plus que le niveau moyen des élèves allemands de Hauptschule. Les résultats les plus faibles concernent les migrants issus d’Afrique noire, tandis que ceux des demandeurs d’asile d’Europe de l’Est sont supérieurs à la moyenne. Certainement pas une main d’oeuvre adéquate. En psychologie, l’intelligence est considérée comme une variable prédictive pour la réussite professionnelle.De la sorte, il parait difficile de combler avec ces migrants les besoins en emploi qualifié de l’Allemagne.
Les résultats de Klauk contredisent indirectement la représentation des migrants donnée par un grand nombre de médias, de politiques, ou de représentants des milieux économiques. Le PDG de Daimler, Dietez Zetsche avait par exemple affirmé : « la plupart des réfugiés sont jeunes, bien formés, et très motivés ». Ils contredisent aussi la vision d’un nouveau « miracle économique » exprimée par ces groupes. »