L'extrême-droite ne dénonce le harcèlement que pour nourrir ses obsessions victimaires ou éviter d'avoir à rendre des comptes

Cet argument est utilisé dans les débats Éric Zemmour est-il fasciste ? et Pour ou contre le wokisme ?.

Cet argument est une justification de L'extrême-droite ne s'offusque du harcèlement que quand ce n'est pas elle qui s'en rend coupable.

Mots-clés : aucun

Résumé

Quand une personnalité d'extrême-droite se rend coupable de propos ou actes qui arrangent l'extrême-droite mais que cette dernière sait indéfendable, elle va instrumentaliser un harcèlement -réel ou inventé de toutes pièces- comme écran de fumée. Et elle y gagne sur tous les tableaux: la personne ciblée passe pour une victime innocente, tout le monde oublie ce qu'elle a fait de répréhensible, les progressistes passent pour de dangereux extrémistes et ceux qui reprochent cette instrumentalisation passent pour des "pro-harcèlement".

Citations

Références

Justifications

L'extrême-droite s'attarde longuement sur le harcèlement de JK Rowling pour faire oublier ses attaques contre les droits des personnes transgenre
L'extrême-droite s'attarde longuement sur le harcèlement de Bastien Vivès pour faire oublier que c'est lui-même un harceleur misogyne et un pédocriminel

Objections

Débats parents