Résumé
Le capitalisme a peu à peu corrigé ses propres excès, notamment ceux du XIXe siècle, en supprimant le travail des enfants, acceptant la semaine de 40h, les congés payés tc. Car le capitalisme génère dialectiquement ses critiques et leur permet de s'exprimer et de le corriger, ce qui n'existe pas dans le communisme qui écrase et emprisonne ses critiques, ni dans les autres systèmes, moins adaptables.
Citations
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Références
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Justifications
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Le capitalisme génère des oppositions et les laisse s'exprimer
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Le capitalisme entretient des groupes qui le critiquent et l'amendent (médias et syndicats indépendants, ONG, églises...)
Objections
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La plupart des travers du capitalisme font partie de son ADN
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Les acquis sociaux et libertés sont réversibles et régressent à la moindre crise
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La croissance des populismes démontre l'échec du capitalisme à s'autoréguler
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Si le capitalisme s'était réellement autorégulé, il ne connaîtrait pas des crises de plus en plus graves et rapprochées
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Le capitalisme n'a tiré aucune leçon de la crise du covid
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Certains pays capitalistes n'ont jamais amélioré les droits ou les libertés de leur population
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Dans certains états américains, le travail des enfants est encore légal
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Les pays capitalistes s'approvisionnent dans des pays pratiquant le travail des enfants
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Le capitalisme ne traite que les symptômes de ses dysfonctionnements pour éviter de se remettre en question
Débat parent