La privatisation d'ADP n'engendre pas la perte de contrôle de l'État
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Cet argument est utilisé dans le débat Faut-il privatiser ADP ?.
Cet argument est une objection à C’est à l’Etat de gérer les aéroports parce que les orientations stratégiques doivent être contrôlées démocratiquement.
Résumé
Citations
« L’Etat disposera sur ADP d’un pouvoir de contrôle (via la Cour des comptes et la présence d’un commissaire du gouvernement au conseil d’administration), de régulation (via un contrat renouvelé tous les cinq ans) et de sanction (faute de respect du cahier des charges, il pourra sanctionner le concessionnaire jusqu’à 2 % de son CA). »
Olivia Grégoire, « Faut-il privatiser les aéroports de Paris (ADP) ? », Le Drenche, 13 juin 2019.