La privatisation d'ADP n'engendre pas la perte de contrôle de l'État
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Résumé[ modifier ]
Citations[ modifier ]
« L’Etat disposera sur ADP d’un pouvoir de contrôle (via la Cour des comptes et la présence d’un commissaire du gouvernement au conseil d’administration), de régulation (via un contrat renouvelé tous les cinq ans) et de sanction (faute de respect du cahier des charges, il pourra sanctionner le concessionnaire jusqu’à 2 % de son CA). »
Olivia Grégoire, « Faut-il privatiser les aéroports de Paris (ADP) ? », Le Drenche, 13 juin 2019.