La majorité de la gauche ne cautionne pas l'usage harcèlement, l'extrême-droite ne s'y oppose que quand ça l'arrange
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Résumé
Quand l'extrême-droite fait mine de s'offusquer d'une situation de harcèlement, ce n'est qu'un écran de fumée destiné à occulter les reproches légitimes formulés vis à vis des membres de son propre camp (tels que l'incitation à la haine transphobe pour JK Rowling ou l'apologie de la pédocriminalité pour Bastien Vivès) et accessoirement diaboliser l'intégralité des militants du camp adverse, dont la majorité ne cautionne pas les cas de harcèlement pouvant survenir en leur sein. En revanche, quand c'est ce même camp adverse qui subit le harcèlement, la majorité de l'extrême-droite y réagit au mieux avec un silence assourdissant, au pire par des applaudissements.