L'islamophobie institutionnelle est une invention dérivée des islamistes
Résumé
Citations
« Le CCIF ne cesse de relever des “cas” (d'islamophobie) invérifiables. Mais malgré des statistiques infimes, le nouveau concept prospère et s’appuie sur une production d’interprétations de plus en plus fantaisistes. La thèse commune serait d’entériner l’idée d’une “islamophobie” constitutive de l’ADN français depuis les Lumières [1]. Deux auteurs, Geissler et Deltombe, avaient déjà tenté il y a dix ans, de substituer au terme “antisémitisme” celui d’“islamophobie”, caractéristique de la manœuvre. Les journalistes, pourtant si bienveillants pour une gamme de plus en plus étendue d’abus musulmans, étaient dénoncés par ces auteurs comme défendant les valeurs laïques et étant habités par une “obsession unique : “lutter contre l’islamisation de la France”, ce qui en ferait des “facilitateurs d’islamophobie” ! I. Kersimon et J.C. Moreau (dans le livre Islamophobie, la contre-enquête) ont pris le temps de comparer les plaintes contre “l’islamophobie” à la réalité des faits, comme le recul le permet. L’inconsistance des accusations est presque toujours patente. »