L'existence d'une autocensure des minorités est prouvée
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Mots-clés : aucun
Résumé
Citations
« « Les cyberviolences ont fréquemment des ressorts sexistes, racistes et LGBTQIA+phobes, ce sont autant de moyens d’intimidation qui incitent à ne pas prendre trop de place et à se conformer à la loi de l’agresseur pour utiliser les réseaux » affirme Johanna Soraya Benamrouche, co- fondatrice de Féministes contre le cyberharcèlement. L’autocensure devient un réflexe de protection pour certains utilisateurs et utilisatrices qui préfèrent ne rien publier, non par envie, mais par crainte d’être prises pour cibles… »
Maëlle Le Corre, « 4 personnes sur 10 l’ont déjà subi : voilà la réalité du cyberharcèlement en France », Madmoizelle.com, 09 fév 2022.