L'ancien président de Frontex évolue désormais au sein du Rassemblement national
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Cet argument est utilisé dans les débats Le Rassemblement national est-il un parti fasciste ?, La liberté d'expression doit-elle être limitée ?, Le communisme a-t-il encore un avenir ?, La démocratie est-elle le meilleur des régimes ?, Etre de gauche, est-ce nécessairement être favorable à l'immigration de masse ?, La France est-elle un pays raciste ?, Le marxisme est-il intolérant et totalitaire par nature ?, La violence est-elle nécessaire aux progrès socio-politiques ?, L'interdiction des discours haineux est-elle efficace ?, Faut-il débattre avec l'ennemi ?, Le néolibéralisme doit-il s'effondrer ?, Éric Zemmour est-il fasciste ?, Pour ou contre le wokisme ?, Le féminisme est-il encore nécessaire ?, Le capitalisme doit-il être renversé ?, Le capitalisme doit-il être réformé ?, Le capitalisme peut-il être réformé ?, Faut-il accepter l'immigration ? et Le Rassemblement national est-il un parti d'extrême-droite ?.
Cet argument est une justification de Frontex, le principal instrument de répression de l'immigration, est une institution criminelle.
Mots-clés : aucun
Résumé
Citations
« Si vous voulez que l’on parle des candidats que les uns et les autres ont sur leur liste, vous avez en troisième position sur la liste du Rassemblement National l’ancien directeur de l’agence Frontex, obligé de démissionner de l’agence Frontex car elle a été pointée du doigt pour l’utilisation de pratiques illégales vis-à-vis du droit international : le refoulement en mer. Concrètement, jeter les gens qui risque leur vie à la mer. »
Auteur non renseigné, « Rima Hassan - Manuel Bompard recadre avec brio Sébastien Chenu qui tentait de la calomnier », L'insoumission, 24 mars 2024.