Beaucop de républicains et de progressistes reconnaissent que certains problèmes sont posés par l'islam sans vouloir "éradiquer" les musulmans
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Cet argument est une objection à Zemmour prend l'intégralité des pratiquants d'une religion pour boucs émissaires, comme les nazis.
Mots-clés : aucun
Résumé
Il existe un nombre ahurissant de livres, presque chaque jour, qui pointent tels ou tels problèmes posés par des personnes d'origine musulmane aux sociétés démocratiques, ouvertes et tolérantes : communautarisme, voiles, mariages forcés, mutilations sexuelles, homophobie, intolérance religieuse, propension à considérer la charia comme supérieure aux lois de la République, sans même parler de questions encore plus extrêmes comme le terrorisme. Profs de gauche, féministes républicaines, même journalistes du "Monde", font part d'inquiétudes et dénoncent tel ou tel problème véhiculé par une vision rétrograde mais présente de l'islam. Voir ces problèmes est d'une banalité affligeante, et n'implique pas de chercher de solutions violentes. Homosexuel(le)s inquiétés, journalistes qui constatent des zones de non droits, victimes de violences, familles affligées par des agressions ou des dérives terroristes, toute cette foule n'exige pas de pogroms. Mais il faut bien proposer des solutions, et plus on attend plus les gens se radicalisent et risquent de perdre le sens des nuances. Zemmour propose d'expulser les délinquants bi-nationaux, souvent issus de pys musulmans : est-ce un pogrom ? Cette réponse semble proportionnée, et existait sous le nom de "double peine" sous Jospin, ministre socialiste, et Mitterrand. On est loin du nazisme et de l'extermination qui sont des "hommes de paille" brandis par des gens qui s'aveuglent encore sur ce problème récurrent d'assimilation de certains musulmans (pas tous, évidemment, et Zemmour préconise l'assimilation sans renier leur foi aux musulmans, il prétend leur tendre la main).