Il faut dès maintenant initier la migration vers des réseaux sociaux comme Diaspora*
Résumé
Il est vrai que l'une des forces d'un réseau social est le nombre des participants. En revanche ce n'est pas la seule : il y a aussi -entre autres- la liberté des utilisateurs sur ce réseau social. Si la liberté des utilisateurs des réseaux sociaux au code propriétaire comme Facebook ne dépend que du bon vouloir de ses créateurs (en l'occurence une compagnie privée qui souhaite faire du profit par le biais d'un espionnage de masse), le nombre de ses utilisateurs, lui, est directement dépendant de ces derniers.
Ainsi, pour créer un nouveau réseau social fort basé sur un code libre et libérant réellement ses utilisateurs il faut initier une migration vers des sites comme Diaspora*. Par contraposée, refuser d'initier cette migration car ces réseaux sociaux sont déserts ne peut qu'assoir la domination de Facebook.
En conclusion, si au lieu de critiquer les gens essayent et propagent ces nouveaux réseaux sociaux autour d'eux, cet argument auto-réalisateur ne tient plus.