Recherche par mots-clés
Aller à la navigation
Aller à la recherche
Mots-clés connexes : Accords d'entreprises, Apolitisme, Bernard Thibault, Capitalisme, Charte d'Amiens, Classe ouvrière, Consultation, Deuxième Guerre mondiale, Démoralisation, Expropriation, François Mitterrand, Grève, Grève générale, Grève générale de mai-juin 1936 en France, Libération de la France, Luttes ouvrières, Mai 68, Marxisme, Mouvement ouvrier, Opposition de gauche, Parti communiste, Parti ouvrier, Retraite, Retraite par répartition, Réformisme, Répression, Révolution, Syndicalisme, Syndicats, Union de la gauche
16 pages
A
- Après la Deuxième Guerre mondiale, la CGT a muselé et réprimé toute opposition à sa gauche
- Au moment de la charte d'Amiens, la CGT revendiquait l'expropriation capitaliste
- Avec Bernard Thibault, la CGT a revendiqué l'usage des consultations
- Avec Bernard Thibault, la CGT a revendiqué la signature d'accords d'entreprises
L
- La CGT a abandonné ses références au marxisme
- La CGT a mis tout son poids pour canaliser la grève générale de Mai 1968 en France
- La CGT s'est opposé au principe de la retraite par répartition lors de son congrès fondateur en 1895
- La charte d'Amiens ne prône pas l'apolitisme de la CGT
- La direction de la CGT a mis tout son poids pour canaliser la grève générale de 1936 en France
- La faiblesse des organisations ouvrières actuelles n'empêchera pas leur reconstruction
- La faiblesse des organisations ouvrières réformistes laisse plus de place aux mouvements révolutionnaires
- Le discrédit des organisations ouvrières réformistes laisse une place pour reconstruire des organisations révolutionnaires
- Le projet des retraites de 1910 en France a été sévèrement dénoncé par la CGT et le Parti ouvrier
- Les militants de la CGT ont démoralisé les travailleurs en les remettant à la victoire électorale de la gauche unie derrière François Mitterrand
- Les organisations ouvrières ont perdu leur base et leur légitimité
À