Pour arrêter la guerre actuelle en Ukraine, il existe de meilleures solutions que les sanctions contre la Russie
De Wikidébats
Sauter à la navigation
Sauter à la recherche
[ renommer ][
]
.
Résumé de l'argument [ modifier ]
Aucun résumé n'a été entré pour le moment.
Citations [ modifier ]
Aucune citation n'a été entrée pour le moment.
Sous-arguments [ modifier ]
Pour arrêter la guerre menée par Poutine, les pays de l'OTAN doivent aider militairement l'Ukraine
Aucun résumé ni citation n'a été entré pour le moment.
SOUS-ARGUMENTS [ modifier ]
Aucun sous-argument n'a été entré pour le moment.
OBJECTIONS [ modifier ]
L'aide militaire de l'OTAN à l'Ukraine permet à l'OTAN de masquer sa responsabilité dans la guerre actuelle
« La vraie question est politique. Elle est de savoir qui fournit les armes et surtout, à qui on les confie. En se présentant comme les alliés naturels de la population ukrainienne pour sa défense, les dirigeants impérialistes cachent leur responsabilité énorme dans cette guerre, comme dans la situation catastrophique du monde entier, soumis à leur domination. Ils justifient aussi la poursuite de leur politique et leurs guerres futures. »
Lutte ouvrière, « Guerre en Ukraine : les armes politiques nécessaires », Lutte ouvrière, n°2797, 09/03/2022.
En aidant militairement l'Ukraine, les pays de l'OTAN se servent du peuple ukrainien et pourraient l'abandonner, comme ils l'ont fait avec d'autres peuples dans le passé
« À de multiples reprises dans le passé, ces mêmes puissances ont choisi « d’armer des populations », pour s’en servir dans leurs guerres d’intérêts. Il faut se souvenir de la façon dont les Kurdes de Syrie ont été utilisés par les puissances impérialistes pour combattre l’État islamique, et abandonnés ensuite face à l’armée turque. Bien des Afghans, utilisés de la même façon avant d’être abandonnés face au régime taliban, pourraient en parler aussi. »
Lutte ouvrière, « Guerre en Ukraine : les armes politiques nécessaires », Lutte ouvrière, n°2797, 09/03/2022.
L'aide militaire de l'OTAN à l'Ukraine revient à soutenir un régime ukrainien réactionnaire et pas les intérêts de la population
« Quand des armes sont fournies en Ukraine, comme c’est déjà le cas, elles sont d’ailleurs fournies à l’armée ukrainienne, au régime ukrainien. Même attaqué par la Russie, il n’a rien d’un régime défendant les intérêts des classes populaires et affiche même son caractère réactionnaire et antiouvrier. »
Lutte ouvrière, « Guerre en Ukraine : les armes politiques nécessaires », Lutte ouvrière, n°2797, 09/03/2022.
Voir plus...
Voir les citations restantes dans la page détaillée de l'argument.
« La défense de la population ukrainienne face à l’avancée de l’armée russe, ce régime l’envisage à sa façon, en fonction de ses intérêts politiques. Les milices territoriales mises en place par le gouvernement Zélensky sont encadrées par ses officiers. Même s’ils n’ont pas tous été formés ces derniers temps par des instructeurs militaires américains, canadiens ou britanniques, il est assez facile de deviner qu’ils ont été choisis pour la fermeté de leurs positions nationalistes, de leurs idées réactionnaires et de leur adhésion aux valeurs du régime en place. »
Lutte ouvrière, « Guerre en Ukraine : les armes politiques nécessaires », Lutte ouvrière, n°2797, 09/03/2022.
Plus que d'armes, la population ukrainienne doit être armée d'une politique révolutionnaire internationaliste
« Alors oui, la population et les travailleurs d’Ukraine ont besoin d’être armés, mais d’abord armés d’une politique, tant contre leur propre régime que contre celui de Poutine. La solidarité entre Russes et Ukrainiens, qui parlent le plus souvent la même langue, qui ont longtemps vécu dans le même pays et que rien ne séparait vraiment, ne pourra resurgir qu’en dépassant le nationalisme étroit des dirigeants, dans un internationalisme qui ne pourra se baser que sur la classe ouvrière des deux nations. »
Lutte ouvrière, « Guerre en Ukraine : les armes politiques nécessaires », Lutte ouvrière, n°2797, 09/03/2022.
Voir plus...
« Ce qui manque d’abord aux travailleurs d’Ukraine, de Russie et d’ici, ce sont des armes politiques qui n’en fassent pas de la chair à canon pour leurs ennemis de classe. »
Lutte ouvrière, « Jean-Pierre Mercier : “Les travailleurs n’ont pas à payer pour la guerre en Ukraine” », Lutte ouvrière, n°2798, 16/03/2022.
|
Le débat continue. Consultez la page détaillée Plus que d'armes, la population ukrainienne doit être armée d'une politique révolutionnaire internationaliste |
Pour arrêter la guerre actuelle en Ukraine, les peuples doivent refuser de faire bloc derrière leurs dirigeants
« Poutine, Biden et les autres dirigeants des pays de l’OTAN se livrent à une guerre avec la peau des peuples, pour lesquels les uns et les autres partagent le même mépris. [...] Les travailleurs n’ont pas à se ranger dans un camp ou dans l’autre. Biden, Macron et leurs semblables voudraient nous embrigader. Il faut refuser l’union sacrée derrière eux. Cette guerre n’est pas la nôtre ! »
Lutte ouvrière, « À bas les guerres de Poutine, de Biden et de l'OTAN contre les peuples ! », Lutte ouvrière, n°2796, 02/03/2022.
Voir plus...
« Il faut refuser de marcher car cette guerre n'est pas celle des travailleurs. C'est celle de leurs exploiteurs qui rivalisent entre eux pour accaparer la plus grande part de profit. »
Lutte ouvrière, « Menace de guerre en Ukraine : ne nous laissons pas embrigader ! », Lutte ouvrière, n°2794, 16/02/2022.
SOUS-ARGUMENTS [ modifier ]
La guerre entre la Russie et l'Ukraine dresse en ennemis des peuples frères
« Ce conflit dresse les uns contre les autres des femmes et des hommes qui partageaient de longue date une culture commune et ont vécu ensemble pendant des décennies au sein de l’Union soviétique. Des familles, où se mélangeaient Russes et Ukrainiens, vivaient de part et d’autre de frontières qui ne constituaient pas alors des obstacles à la circulation. Aujourd’hui, l’exacerbation des nationalismes est en train de creuser des fossés de sang et de haine entre ces peuples. »
Lutte ouvrière, « À bas les guerres de Poutine, de Biden et de l'OTAN contre les peuples ! », Lutte ouvrière, n°2796, 02/03/2022.
Voir plus...
« Les peuples ukrainien et russe sont liés par une longue histoire et une culture communes. Pendant 70 ans, ils ont vécu au sein de l'Union soviétique, ce vaste territoire forgé après la révolution de 1917, qui s'est développé en commun, de façon planifiée. Que le Donbass ou la Crimée soient rattachés administrativement à l'Ukraine ou à la Russie n'avait alors pas de conséquence car aucune véritable frontière ne les séparait. »
Lutte ouvrière, « Menace de guerre en Ukraine : ne nous laissons pas embrigader ! », Lutte ouvrière, n°2794, 16/02/2022.
La guerre entre la Russie et l'Ukraine ne réserve aux peuples que du sang et des larmes
« Les prolétaires ukrainiens paient déjà les rivalités entre les grandes puissances occidentales et la Russie par du sang et des larmes. Les prolétaires russes le paient aussi par le renforcement de la dictature de Poutine et vont le payer plus encore avec le blocus que veulent mettre en place les Occidentaux et qui risque de leur faire revivre l’effondrement économique catastrophique qu’ils ont vécu il y a trente ans, au moment où Eltsine a organisé l’éclatement de l’URSS. Mais nous, prolétaires ici en France, sommes aussi dans le même bateau. Le gouvernement français prétend que désormais, à cause du conflit en Ukraine, tout le monde va devoir se serrer la ceinture et que, riches et pauvres, nous serions tous concernés. »
Lutte ouvrière, « La guerre en Ukraine, une catastrophe pour les peuples, des affaires exceptionnelles pour les marchands de canons », Lutte ouvrière, n°2798, 16/03/2022.
La guerre entre la Russie et l'Ukraine sert les intérêts des dirigeants des grandes puissances
« La guerre est une gigantesque affaire commerciale. Les industriels du textile vont récupérer les marchés de fournitures aux armées. Ceux de l’agroalimentaire vont se charger de les nourrir. Ils feront comme les trusts du pétrole ont fait avec l’essence : profitant de leur position dominante, ils fixeront leurs prix. Les banques en profiteront aussi pour endetter les États qui vont augmenter leurs dépenses d’armement. Et les États feront payer les populations. »
Lutte ouvrière, « La guerre en Ukraine, une catastrophe pour les peuples, des affaires exceptionnelles pour les marchands de canons », Lutte ouvrière, n°2798, 16/03/2022.
|
Le débat continue. Consultez la page détaillée La guerre entre la Russie et l'Ukraine sert les intérêts des dirigeants des grandes puissances
|
Au nom de l'intérêt national, les dirigeants des pays engagés dans la guerre cherchent à souder leur population derrière leurs grandes fortunes
« Derrière « l’intérêt national » évoqué par l’ensemble de la classe politique se dissimule à peine l’intérêt des possédants. Ceux qui dirigent l’État et les partis qui défendent l’ordre social propagent la légende selon laquelle tout le monde devrait faire bloc derrière eux au nom de ce qu’ils appellent l’intérêt de la France. Il s’agit en fait de souder la population derrière la classe dirigeante. La situation de guerre leur fournit, comme bien des fois dans le passé, une bonne occasion de le faire, au nom du danger que représenterait l’agression russe pour la démocratie, le mode de vie occidental et autres prétendues valeurs. Les travailleurs auraient tout à perdre à se ranger, au nom de ce prétendu intérêt national, derrière leur gouvernement et les capitalistes qu’il défend. »
Lutte ouvrière, « Face à la guerre : l’union derrière Macron, c’est non ! », Lutte ouvrière, n°2796, 02/03/2022.
Voir plus...
« Au nom de la patrie, ukrainienne ou russe, des travailleurs sont transformés en chair à canon pour que des oligarques, russes ou ukrainiens, sauvent leurs yachts et leurs milliards, pour que les actions de Thales, de Total, de tous les profiteurs de guerre continuent de grimper. »
Lutte ouvrière, « Contre Poutine et contre les fauteurs de guerre impérialistes », Lutte ouvrière, n°2797, 09/03/2022.
« Mais nous, prolétaires ici en France, sommes aussi dans le même bateau. Le gouvernement français prétend que désormais, à cause du conflit en Ukraine, tout le monde va devoir se serrer la ceinture et que, riches et pauvres, nous serions tous concernés. C’est de la propagande pour nous mettre à la remorque des intérêts des trusts français. »
Lutte ouvrière, « La guerre en Ukraine, une catastrophe pour les peuples, des affaires exceptionnelles pour les marchands de canons », Lutte ouvrière, n°2798, 16/03/2022.
Au nom de la guerre, les dirigeants vont chercher à aggraver les conditions de vie de leur population
« Les dirigeants au service de nos exploiteurs, qui aggravent les conditions de vie ici, prétendent agir dans notre intérêt. Ils ne se transforment pas en bienfaiteurs des peuples quand ils interviennent au-delà des frontières, quel qu’en soit le prétexte. Ils utilisent déjà la guerre en Ukraine pour nous préparer à de nouveaux sacrifices. Alors, il ne faut pas marcher dans la tentative de Macron de nous ranger au garde-à-vous derrière les puissances occidentales et leurs institutions. »
Lutte ouvrière, « Contre Poutine et contre les fauteurs de guerre impérialistes », Lutte ouvrière, n°2797, 09/03/2022.
À travers la guerre actuelle en Ukraine, les dirigeants des pays de l'OTAN préparent leur population à de futures guerres
« Mais leurs grandes manœuvres ont un autre but : conditionner et mettre au pas leur propre population pour la préparer à servir de chair à canon dans la guerre à venir. Tous ceux qui n'ont que « les intérêts de la France » à la bouche participent à cette mise en condition. »
Lutte ouvrière, « Menace de guerre en Ukraine : ne nous laissons pas embrigader ! », Lutte ouvrière, n°2794, 16/02/2022.
|
Le débat continue. Consultez la page détaillée À travers la guerre actuelle en Ukraine, les dirigeants des pays de l'OTAN préparent leur population à de futures guerres
|
OBJECTIONS [ modifier ]
Aucune objection n'a été entrée pour le moment.
Pour arrêter la guerre actuelle en Ukraine, les peuples doivent s'unir et renverser le pouvoir des capitalistes
« L’Ukraine est redevenue l’arène sanglante de la rivalité entre les dirigeants impérialistes et ceux de la Russie. La voie pour en sortir, en Ukraine comme ailleurs, reste celle que défendirent avec acharnement Lénine et les bolcheviks il y a un siècle. Elle ne peut être que celle de l’internationalisme et de la lutte contre le chauvinisme, celle de l’alliance fraternelle des peuples que rien n’oppose, bien au contraire. Les travailleurs ont les mêmes intérêts à défendre en commun, face aux mêmes ennemis qui sont leurs exploiteurs, à commencer par ceux de leur propre pays. Aujourd’hui comme hier, il faut répéter : Prolétaires de tous les pays, unissons-nous ! Non à la guerre entre travailleurs, oui à la guerre contre leurs oppresseurs ! »
Lutte ouvrière, « Des peuples unis par la révolution, séparés par la réaction », Lutte ouvrière, n°2796, 02/03/2022.
Voir plus...
Voir les citations restantes dans la page détaillée de l'argument.
« S’ils ne veulent pas perdre leur vie dans les rivalités et la course au profit maximum des capitalistes des grandes puissances, les travailleurs de tous les pays devront se battre pour renverser ce système, en commençant par contester le pouvoir des capitalistes là où ils ont les moyens de le toucher, dans leur propre pays. »
Lutte ouvrière, « Contre Poutine et contre les fauteurs de guerre impérialistes », Lutte ouvrière, n°2797, 09/03/2022.
« Des réactions venant de la classe ouvrière seraient la meilleure chose qui puisse arriver pour faire cesser cette guerre fratricide, et pour faire que cette guerre ne soit pas entre deux pays ou deux parties d’un même peuple, mais entre les exploités d’une part, et leurs oppresseurs, leurs exploiteurs d’autre part, et cela quelle que soit leur nationalité. »
Lutte ouvrière, « Poutine fait aussi la guerre à son propre peuple », Lutte ouvrière, n°2797, 09/03/2022.
SOUS-ARGUMENTS [ modifier ]
Le capitalisme porte en lui la guerre comme la nuée porte l'orage
« Tant que, dans chaque nation, une classe restreinte d’hommes possédera les grands moyens de production et d’échange, tant qu’elle possédera ainsi et gouvernera les autres hommes, tant que cette classe pourra imposer aux sociétés qu’elle domine sa propre loi, qui est la concurrence illimitée, la lutte incessante pour la vie, le combat quotidien pour la fortune et pour le pouvoir ; tant que cette classe privilégiée, pour se préserver contre tous les sursauts possibles de la masse, s’appuiera ou sur les grandes dynasties militaires ou sur certaines armées de métier des républiques oligarchiques ; tant que le césarisme pourra profiter de cette rivalité profonde des classes pour les duper et les dominer l’une par l’autre, écrasant au moyen du peuple aigri les libertés parlementaires de la bourgeoisie, écrasant ensuite, au moyen de la bourgeoisie gorgée d’affaires, le réveil républicain du peuple ; tant que cela sera, toujours cette guerre politique, économique et sociale des classes entre elles, des individus entre eux, dans chaque nation, suscitera les guerres armées entre les peuples. C’est de la division profonde des classes et des intérêts dans chaque pays que sortent les conflits entre les nations. »
Jean Jaurès, « Discours à la Chambre des députés », 7 mars 1895.
Voir plus...
Voir les citations restantes dans la page détaillée de l'argument.
« Il y a cent ans, toute une génération a connu la boucherie de la Première Guerre mondiale. Puis la génération suivante s’est retrouvée sur les champs de bataille de la Deuxième Guerre mondiale. Ensuite, il y a eu les guerres coloniales, au Vietnam ou en Algérie. En réalité, les guerres ne se sont jamais arrêtées. Les désastres en Syrie, en Irak ou au Yémen sont là pour en témoigner. Le système capitaliste, fondé sur l’esclavage salarial, mène inévitablement à la guerre. La guerre fait partie du capitalisme. Et si elle est une tragédie pour les populations, elle est un énorme business pour les trusts. Les profits des groupes pétroliers et de ceux de l’armement en sont l’illustration écœurante. »
Nathalie Arthaud, « Votez pour dénoncer les fauteurs et les profiteurs de guerre, et les gouvernements qui veulent nous embrigader ! », Lutte ouvrière, n°2800, 30/03/2022.
La Révolution russe de 1917 est justement l'exemple duquel peuvent s'inspirer les peuples russe et ukrainien pour mettre fin à la guerre en cours
« Notre espoir va du côté des travailleurs russes, qui n’ont pas voulu cette guerre, qui n’y ont pas intérêt. Certains l’expriment avec énormément de courage. J’espère qu’ils trouveront la voie pour se retourner contre Poutine et pour parler avec leurs frères ukrainiens. […] La seule porte de sortie par le haut serait que les peuples parviennent à s’entendre par-dessus la tête de leurs dirigeants. À ceux qui nous disent « Vous êtes utopistes », il faut rappeler que cela s’est fait ! Il y a vraiment eu une révolution qui a arrêté la guerre sur le front en 1917 ! Aujourd’hui, on ne peut certes pas arrêter la guerre du jour au lendemain, mais on peut exprimer cette perspective, qui comptera dans l’avenir. »
Nathalie Arthaud, « Nathalie Arthaud : “Notre espoir va du côté des travailleurs” », Lutte ouvrière, n°2800, 30/03/2022.
Voir plus...
Voir les citations restantes dans la page détaillée de l'argument.
« Cela s’est déjà produit, justement en Russie et en Ukraine, il y a un peu plus de cent ans. Parce que c’est la révolution des ouvriers, des soldats et des paysans de l’empire tsariste qui a mis un terme aux combats de la Première Guerre mondiale sur le front Est. Un an plus tard, cette révolution contagieuse a contribué à la mutinerie des soldats et des marins allemands qui firent tomber l’empereur, sonnant la fin de la boucherie qu’avait été la guerre de 14-18. La Révolution russe a montré que les exploités pouvaient aussi décider du sort de la guerre. Car ceux qui manient les armes, la plupart du temps des hommes du peuple, des ouvriers, des exploités, peuvent aussi décider de les faire taire. »
Lutte ouvrière, « Nathalie Arthaud : "Cette guerre nous concerne. Nous avons déjà un pied dedans" », Lutte ouvrière, n°2801, 06/04/2022.
OBJECTIONS [ modifier ]
Aucune objection n'a été entrée pour le moment.
Objections [ modifier ]
Aucune objection n'a été entrée pour le moment.
Références [ modifier ]
Aucune référence n'a été entrée pour le moment.
Débat parent
- Les pays de l'OTAN doivent-ils sanctionner la Russie pour son invasion de l'Ukraine ?