Le RN s'est opposé à des lois protégeant les LGBT+ au sein de l'union européenne
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Cet argument est utilisé dans les débats La France est-elle une démocratie ?, L'Europe occidentale est-elle en déclin ?, Le Rassemblement national est-il un parti fasciste ?, La liberté d'expression doit-elle être limitée ?, Le communisme a-t-il encore un avenir ?, Etre de gauche, est-ce nécessairement être favorable à l'immigration de masse ?, La France est-elle un pays raciste ?, Faut-il débattre avec l'ennemi ?, Pour ou contre le wokisme ?, Le Rassemblement National est-il un parti d'extrême-droite ?, Le capitalisme doit-il être renversé ? et Faut-il accepter l'immigration ?.
Cet argument est une justification de Les lois (non-)votées par le RN trahissent sa LGBTphobie.
Mots-clés : aucun
Résumé
Citations
« Le 11 mars 2021, les eurodéputé·es RN refusaient de déclarer l’UE « zone de liberté LGBTIQ » en réaction au recul des droits des minorités sexuelles en Hongrie et en Pologne. En 2019 d’ailleurs, les mêmes élu·es votaient contre une une résolution qui s’inquiétait du nombre croissant d’agressions contre les LGBTI+ dans l’UE et condamnait en particulier la mise en place de ces zones « libres de toute idéologie LGBTI ». »
David Perrotin, « Derrière la « dédiabolisation » de Marine Le Pen, le véritable danger du RN pour les LGBTI+ », 19 avril 2022.