La statistique des déportations et des morts au goulag comprend indistinctement les politiques et les droits communs
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Cet argument est utilisé dans les débats Lénine est-il le précurseur de Staline ?, Le communisme a-t-il encore un avenir ?, Faut-il débattre avec l'ennemi ? et Le marxisme est-il intolérant et totalitaire par nature ?.
Cet argument est une objection à La terreur rouge de la guerre civile russe est sans rapport avec la terreur stalinienne des années 1930, Le bilan morbide de l'URSS doit prendre en compte les victimes du Goulag, y compris celles qui en sont revenues et Si l'on ne compte pas les victimes de la grande famine en Ukraine, celles de la dékoulakisation ni les morts au Goulag, on peut baisser artificiellement le nombre de morts.
Mots-clés : aucun
Résumé
Citations
« Des données fiables existent pour la période du 1er janvier 1934 au 31 décembre 1947, montrant que dans l'ensemble des camps du goulag 963.766 prisonniers sont morts - ce chiffre comprend les "ennemis du peuple" mais aussi les détenus de droit commun. »
Moshe Lewin, Le Siècle soviétique, p.515, Annexes (annexe 2 ), Arthème Fayard / Le Monde diplomatique, Paris, 2003.
« Nous avons des informations très précises selon lesquelles pendant la période du 1er janvier 1934 au 31 décembre 1947, 963. 766 prisonniers sont morts dans les camps de travail du GOULAG, et ce nombre comprend non seulement les «ennemis du peuple», mais aussi les criminels. »
Victor Zemskov, « Le goulag ( histoire et sociologie ) », Revue sociologique p. 3-16, 1991 n)6.