La "lutte contre l'extrême droite" est un faux nez qui remonte à Mitterrand pour museler l'opposition
Résumé
Citations
« Tout a commencé sous la présidence de François Mitterrand, lorsque les socialistes ont entrepris de favoriser une immigration musulmane de masse dans le but d’élargir leur clientèle électorale. SOS Racisme, la marche des Beurs, les grands concerts rocks antiracistes ont été les outils utilisés pour favoriser l’immigration, puis pour rallier les musulmans au Parti Socialiste. Pour faire taire toute objection à ce basculement démographique, une intense opération de muselage a eu lieu. Les éditeurs ont mis sous le boisseau tous les grands auteurs qui auraient aidé les Français à s’interroger sur l’islam (Renan, Condorcet, Levy-Strauss…), les humoristes se sont mis à caricaturer le Français de base en « beauf » raciste et les intellectuels comme BHL ont accusé la France d’être intrinsequement pétainiste. Pierre d’achoppement du système – ou peut-être idiot utile de cette funeste mascarade – le Front National, inexistant à l’époque, a été monté de toutes pièces comme un épouvantail répulsif. Avec la complicité active de Jean-Marie Le Pen jamais avare de « bons mots » à la limite du racisme et de l’antisémitisme, l’antiracisme politique s’est installé au cœur de la vie politique. Depuis quarante ans, quiconque émet le moindre doute quant à l’utilité d’un fort courant migratoire islamique est immédiatement pointé du doigt comme nazi « proche du Front National ». »